LE CINÉMA DES ENFANTS • POUR LES PLUS GRANDS • JANVIER 2014
Angleterre-Pologne, 2006, 49 min, sans dialogue
NUM • À partir de 7 ans
NUM • À partir de 7 ans
En Russie, dans un univers hostile, un petit garçon courageux part à la chasse au loup aidé d’un oiseau un peu fou et d’un canard rêveur... Adaptation du célèbre conte musical de Sergueï Prokofiev, dans laquelle des marionnettes très expressives, brillent par leur splendeur.
"Le film a remporté l’oscar du meilleur court métrage en 2008 et le Grand prix du festival du cinéma d’animation d’Annecy en 2007 (...) Superbe mise en scène, animation parfaite (les visages humains sont animés avec une précision étonnante) : du beau travail."
J.B.Morain, Les Inrockuptibles
"Rarement un film d'animation aura réussi à incarner une émotion aussi déchirante à travers le regard bleuté de Pierre."
Pierre Eisenreich, Positif
"La réussite du film tient à son atmosphère, que magnifie l'artisanat des marionnettes et de l'animation en 3D. Les allures de vieilles peluches déplumées des animaux en particulier leur donnent l'apparence à la fois misérable et extrêmement familière de joujoux ressortis par hasard d'un coffre à jouets. Associée à la musique de Prokofiev, l'absence de dialogues, couplée avec l'attention portée à chaque geste, à chaque regard, investit ces derniers d'une forte puissance fictionnelle, qui donne à cette intrigue minimale la densité narrative d'un riche roman d'apprentissage."
Isabelle Régnier, Le Monde
"Le film a remporté l’oscar du meilleur court métrage en 2008 et le Grand prix du festival du cinéma d’animation d’Annecy en 2007 (...) Superbe mise en scène, animation parfaite (les visages humains sont animés avec une précision étonnante) : du beau travail."
J.B.Morain, Les Inrockuptibles
"Rarement un film d'animation aura réussi à incarner une émotion aussi déchirante à travers le regard bleuté de Pierre."
Pierre Eisenreich, Positif
"La réussite du film tient à son atmosphère, que magnifie l'artisanat des marionnettes et de l'animation en 3D. Les allures de vieilles peluches déplumées des animaux en particulier leur donnent l'apparence à la fois misérable et extrêmement familière de joujoux ressortis par hasard d'un coffre à jouets. Associée à la musique de Prokofiev, l'absence de dialogues, couplée avec l'attention portée à chaque geste, à chaque regard, investit ces derniers d'une forte puissance fictionnelle, qui donne à cette intrigue minimale la densité narrative d'un riche roman d'apprentissage."
Isabelle Régnier, Le Monde
Séances
Dimanche 26 janvier 14h30
Mercredi 29 janvier 15h