PROGRAMMATION FÉVRIER 2011
USA, 1995, 2h26, VOSTF
Avec Ralph Fiennes, Angela Bassett, Juliette Lewis
interdit - 16 ans
Avec Ralph Fiennes, Angela Bassett, Juliette Lewis
interdit - 16 ans
Los Angeles, quelques jours avant l'an 2000. La ville est une mégalopole post-industrielle en décomposition, un empire des ténèbres où l'on survit en tuant ou en trafiquant. Lenny Nero, flic déchu, s'est reconverti dans le trafic de vidéos très perfectionnées, drogues d'un nouveau genre, qui permettent de revivre par procuration n'importe quelle situation (action, violence ou sexe). Un jour, Lenny découvre une vidéo révélant l'identité des meurtriers d'un rapper-leader noir. Une véritable intrigue de film noir, dense et complexe, plongée dans un chaos urbain sous tension permanente, soulignée par un apocalyptique compte à rebours vers l'an 2000…
« Strange days have found us / Strange days have tracked us down / They're goin' to destroy our casual joys. » (« Les jours étranges nous ont trouvés, nous ont traqués. Ils vont détruire nos joies ordinaires. ») Martelée par le groupe Prong, la chanson des Doors, sinueuse et lascive dans sa version d'origine, met ici toutes ses menaces à exécution. »
François Gorin, Télérama
« L'univers de Strange Days a des airs de centrale électrique surchargée, survoltée, poussée au bord du pétage de plombs généralisé par le compte à rebours vers l'an 2000 : angoisses apocalyptiques et promesses de supermégateuf du siècle viennent surchauffer la grande pétaudière. Le L.A. de Bigelow est un monde au bord du gouffre, notre société de consommation en phase de cancer terminal, un univers qui a perdu la boule, macérant dans un mélange explosif (…) où il sera question de meurtres, de viols, de suspense psycho-sexuel, de manipulation, de commentaire social sur la situation urbaine américaine, de dilemme romantique, le tout assorti d'une réflexion sur l'Etat et le rôle des images. »
Les Inrockuptibles
« Strange days have found us / Strange days have tracked us down / They're goin' to destroy our casual joys. » (« Les jours étranges nous ont trouvés, nous ont traqués. Ils vont détruire nos joies ordinaires. ») Martelée par le groupe Prong, la chanson des Doors, sinueuse et lascive dans sa version d'origine, met ici toutes ses menaces à exécution. »
François Gorin, Télérama
« L'univers de Strange Days a des airs de centrale électrique surchargée, survoltée, poussée au bord du pétage de plombs généralisé par le compte à rebours vers l'an 2000 : angoisses apocalyptiques et promesses de supermégateuf du siècle viennent surchauffer la grande pétaudière. Le L.A. de Bigelow est un monde au bord du gouffre, notre société de consommation en phase de cancer terminal, un univers qui a perdu la boule, macérant dans un mélange explosif (…) où il sera question de meurtres, de viols, de suspense psycho-sexuel, de manipulation, de commentaire social sur la situation urbaine américaine, de dilemme romantique, le tout assorti d'une réflexion sur l'Etat et le rôle des images. »
Les Inrockuptibles
Séances
vendredi 11 février à 18h
samedi 12 février à 21h
samedi 12 février à 21h