FESTIVAL PLAY IT AGAIN ! • AVRIL 2015
USA, 1979, 2h09, VOSTF
avec Jonathan Banks, Bette Midler, Frederic Forrest
NUM • VERSION RESTAURÉE
avec Jonathan Banks, Bette Midler, Frederic Forrest
NUM • VERSION RESTAURÉE
Evocation de la vie tourmentée de Janis Joplin : les tournées sans fin, le public, les caprices, le succès, l'alcool, la drogue et la solitude d'une rock-star. Bette Midler survoltée, un album et une chanson mythique : The Rose.
"Bette Midler est entrée dans le cinéma comme elle entre en scène : une tornade. Sa rencontre avec le personnage de Rose, vaguement inspiré de Janis Joplin, donne un film étourdissant, qui l'a fait passer directement au stade de "monstre sacré". On l'a comparée à Groucho Marx, à Chaplin ; on a parlé d'un mélange de Piaf et de Barbra Streisand, de Betty Boop et de Mae West. On a dit qu'elle avait "une centrale nucléaire dans le ventre"... Tout est vrai. Qu'on aime ou pas ses outrances et sa vulgarité assumée, il est difficile de rester insensible à la performance qu'elle accomplit ici. Qu'elle arpente un sauna gay à la recherche de son beau cow-boy (Frederic Forrest, craquant), qu'elle rejoigne sur scène le travesti qui l'imite pour un duo endiablé, elle est incroyable. Et les scènes de concert (superbement éclairées par Vilmos Zsigmond) vous sortiront de votre fauteuil. La dernière, où elle chante avec rage Stay with me, peut même tirer des larmes."
Bernard Génin, Télérama
"Bette Midler est entrée dans le cinéma comme elle entre en scène : une tornade. Sa rencontre avec le personnage de Rose, vaguement inspiré de Janis Joplin, donne un film étourdissant, qui l'a fait passer directement au stade de "monstre sacré". On l'a comparée à Groucho Marx, à Chaplin ; on a parlé d'un mélange de Piaf et de Barbra Streisand, de Betty Boop et de Mae West. On a dit qu'elle avait "une centrale nucléaire dans le ventre"... Tout est vrai. Qu'on aime ou pas ses outrances et sa vulgarité assumée, il est difficile de rester insensible à la performance qu'elle accomplit ici. Qu'elle arpente un sauna gay à la recherche de son beau cow-boy (Frederic Forrest, craquant), qu'elle rejoigne sur scène le travesti qui l'imite pour un duo endiablé, elle est incroyable. Et les scènes de concert (superbement éclairées par Vilmos Zsigmond) vous sortiront de votre fauteuil. La dernière, où elle chante avec rage Stay with me, peut même tirer des larmes."
Bernard Génin, Télérama
Séances
Samedi 25/04 21:00