LES LUCIOLES • OCTOBRE-NOVEMBRE 2018
France, 2015, 1h21 • animation
NUM
À partir de 7 ans
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À partir de 7 ans
En 1882, à Saint-Pétersbourg, Sacha, intrépide aristocrate de 14 ans, est fascinée par les prouesses de son grand-père, le célèbre explorateur Oloukine, qui n’est jamais revenu de sa dernière expédition dans le Grand Nord. Persuadée que les recherches pour retrouver son navire n’ont pas été menées au bon endroit, Sacha se lance dans une quête périlleuse vers le Pôle Nord... Une quête du bout du monde riche en couchers de soleil, mutineries et éboulements de glaciers : tous les éléments de l’aventure dans la plus pure tradition de Jules Verne sont là, avec en plus une héroïne forte et déterminée. Du point de vue esthétique, le choix osé d’une animation sans contour, se réduisant à de grands aplats de couleur pastel, fait des merveilles et convient parfaitement aux paysages glacés du Grand Nord.
" (...) si ce premier film est une telle réussite, c'est qu'il se place au confluent de plusieurs courants d'animation possibles. D'abord, Tout en haut du monde est un film pour enfants et on ne peut que se laisser entraîner dans la quête assez classique de Sacha, dans son acharnement à retrouver le navire de son grand-père, son immersion dans un équipage de matelots bourrus... Ensuite, et c'est la raison pour laquelle le film séduit autant, tout est ici comme ralenti. Le récit se déroule au rythme givré de la banquise, des mers gelées qu'il faut patiemment traverser en brise-glace, dans le désert blanc du Grand Nord où les personnages, comme l'action elle-même, tombent peu à peu dans l'inertie, dans une paralysie frigorifiée aussi séduisante que celle de certains contes d'Andersen." Clément Ghys, Libération (janvier 2016)
" (...) si ce premier film est une telle réussite, c'est qu'il se place au confluent de plusieurs courants d'animation possibles. D'abord, Tout en haut du monde est un film pour enfants et on ne peut que se laisser entraîner dans la quête assez classique de Sacha, dans son acharnement à retrouver le navire de son grand-père, son immersion dans un équipage de matelots bourrus... Ensuite, et c'est la raison pour laquelle le film séduit autant, tout est ici comme ralenti. Le récit se déroule au rythme givré de la banquise, des mers gelées qu'il faut patiemment traverser en brise-glace, dans le désert blanc du Grand Nord où les personnages, comme l'action elle-même, tombent peu à peu dans l'inertie, dans une paralysie frigorifiée aussi séduisante que celle de certains contes d'Andersen." Clément Ghys, Libération (janvier 2016)
Séances au Cinématographe
- - vendredi 2/11 14:30 - - dimanche 4/11 14:30 - - mercredi 7/11 18:45
Séance au Concorde
- - jeudi 1/11 14:00
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