ÉCOLE ET CINÉMA 2020-2021 • CYCLE 2
Un chat mène une double vie secrète : il passes ses journées avec Zoé, la fille d’un commissaire, mais la nuit il accompagne un voleur sur les toits de Paris. Alors que la mère de Zoé enquête sur les cambriolages nocturnes, un autre truand kidnappe la fillette…
« Voilà ce qui frappe dans Une vie de chat : ce tranquille mélange des genres – jamais vu en animation – où l’on trouve le film noir (braquages, agressions, suspense, poursuites), le récit initiatique (une petite fille mutique retrouve la parole), la comédie burlesque (avec des gangsters plus comiques que dangereux) et même un soupçon de fantastique (étranges apparitions de Costa en poulpe rouge, puis du colosse de Nairobi dans l’esprit dérangé de Costa). Jamais le résultat ne semble le produit d’une recette. Les auteurs ont trouvé le bon dosage et l’originalité du film lui vaudra non seulement d’être salué par une presse unanime, mais aussi de concourir aux oscars 2011. »
Bernard Génin, extrait du Cahier de notes École et Cinéma sur Une vie de chat
Mitonnée au sein du studio Folimage (producteur des films de Jacques-Rémy Girerd, dont La Prophétie des grenouilles et Mia et le Migou), cette Vie de chat est un régal pour les yeux : chaque mouvement a la souplesse et la grâce du félin et de son compagnon humain, qui se coulent avec fluidité de gouttière en corniche. Cette vivacité, cette invention n'empêchent pas le film d'explorer des sillons plus mélancoliques : la perte du père, par exemple. C'est aussi ça, Une vie de chat : l'histoire d'une petite fille murée dans son deuil qui, soudain, triomphe du chagrin.
Cécile Mury - Télérama
« Voilà ce qui frappe dans Une vie de chat : ce tranquille mélange des genres – jamais vu en animation – où l’on trouve le film noir (braquages, agressions, suspense, poursuites), le récit initiatique (une petite fille mutique retrouve la parole), la comédie burlesque (avec des gangsters plus comiques que dangereux) et même un soupçon de fantastique (étranges apparitions de Costa en poulpe rouge, puis du colosse de Nairobi dans l’esprit dérangé de Costa). Jamais le résultat ne semble le produit d’une recette. Les auteurs ont trouvé le bon dosage et l’originalité du film lui vaudra non seulement d’être salué par une presse unanime, mais aussi de concourir aux oscars 2011. »
Bernard Génin, extrait du Cahier de notes École et Cinéma sur Une vie de chat
Mitonnée au sein du studio Folimage (producteur des films de Jacques-Rémy Girerd, dont La Prophétie des grenouilles et Mia et le Migou), cette Vie de chat est un régal pour les yeux : chaque mouvement a la souplesse et la grâce du félin et de son compagnon humain, qui se coulent avec fluidité de gouttière en corniche. Cette vivacité, cette invention n'empêchent pas le film d'explorer des sillons plus mélancoliques : la perte du père, par exemple. C'est aussi ça, Une vie de chat : l'histoire d'une petite fille murée dans son deuil qui, soudain, triomphe du chagrin.
Cécile Mury - Télérama