PROGRAMMATION OCTOBRE 2010
USA, 1943, 1h10, VOSTF
Avec Frances Dee, Tom Conway, James Ellison, Christine Gordon, Edith Barrett
Avec Frances Dee, Tom Conway, James Ellison, Christine Gordon, Edith Barrett
Betsy, une infirmière canadienne, part pour Haïti où elle doit soigner la femme du planteur Paul Holland, atteinte d'un mal étrange. Elle tombe amoureuse du mari, mais continue à s'occuper de son mieux de sa malade somnambulique et découvre bientôt qu'elle est sous l'emprise du vaudou... Dans ce film, Jacques Tourneur soigne particulièrement sa bande son pour distiller une angoisse sourde, tout en parvenant à livrer une fine étude psychologique de ses personnages.
Second d’une série de trois films fantastiques (La Féline 1942 et l’Homme-léopard 1943) produits par Val Lewton et réalisés par le maître du cinéma fantastique Jacques Tourneur, ce film d’horreur est un chef-d’œuvre inqualifiable. L’horreur chez Jacques Tourneur est basée sur la suggestion. Il laisse libre cours à l’imagination du spectateur, plutôt que de montrer nettement les faits, ce qui rend le suspense d’autant plus insoutenable.
«C’est un film fantastique de la plus belle eau, qui dessine le paysage surnaturel en pointillé et nous abandonne pour finir au seuil du mystère.»
Michael Henry Wilson
«Tout doit venir de l’intérieur... Je déteste les angles bizarres, les objectifs déformants. C’est très facile de dépayser ainsi. Tandis que rester près des acteurs, ne jamais utiliser de trucs et pourtant créer une atmosphère étrange, c’est beaucoup plus difficile.»
Jacques Tourneur cité par Michael Henry Wilson
Second d’une série de trois films fantastiques (La Féline 1942 et l’Homme-léopard 1943) produits par Val Lewton et réalisés par le maître du cinéma fantastique Jacques Tourneur, ce film d’horreur est un chef-d’œuvre inqualifiable. L’horreur chez Jacques Tourneur est basée sur la suggestion. Il laisse libre cours à l’imagination du spectateur, plutôt que de montrer nettement les faits, ce qui rend le suspense d’autant plus insoutenable.
«C’est un film fantastique de la plus belle eau, qui dessine le paysage surnaturel en pointillé et nous abandonne pour finir au seuil du mystère.»
Michael Henry Wilson
«Tout doit venir de l’intérieur... Je déteste les angles bizarres, les objectifs déformants. C’est très facile de dépayser ainsi. Tandis que rester près des acteurs, ne jamais utiliser de trucs et pourtant créer une atmosphère étrange, c’est beaucoup plus difficile.»
Jacques Tourneur cité par Michael Henry Wilson
Séances
Mardi 2 novembre à 21h