<font color="#999999">FICTIONS SOCIALES • MARS-AVRIL 2013 </font>
USA, 1941, 1h58, VOSTF
avec Maureen O'Hara, John Loder, Donald Crisp, Walter Pidgeon
avec Maureen O'Hara, John Loder, Donald Crisp, Walter Pidgeon
Vers 1890, dans une petite ville du Pays de Galles, un père et ses cinq fils travaillent à la mine de charbon et la vie quotidienne s’écoule paisiblement, rythmée par des habitudes devenues de vrais rites. Mais les conditions de travail deviennent de plus en plus difficiles et les fils décident de faire grève, contre l’avis de leur père.
"Vers 1890, une vallée du Pays de Galles. Chez les Morgan, on est mineur de père en fils. Chronique familiale et sociale, racontée en un long flash-back par Huw, le plus jeune garçon, alors enfant, Qu'elle était verte ma vallée possède un charme indicible, une beauté limpide. La rue principale qui monte lentement vers la mine, bordée par les habitations, est le passage obligé emprunté matin et soir par les mineurs pour se rendre au travail et en revenir. Lieu de fête, de rassemblement, de vie et de mort, elle est aussi le décor central du film. Huw décrit ses frères, excédés par les mauvaises conditions de travail et la paye dérisoire ; sa sœur, partagée entre l'amour de son mari, fils du directeur, et l'appartenance à sa classe ; son père, soucieux de son travail.
Volontairement en retrait, John Ford propose simplement le point de vue d'un enfant traumatisé par la dislocation de sa famille, qui réagit avec ses sentiments, ses ignorances, loin de toute prise de conscience politique et sociale... Loin aussi des positions progressistes des Raisins de la colère, réalisé un an auparavant."
Gérard Camy, Télérama
"Vers 1890, une vallée du Pays de Galles. Chez les Morgan, on est mineur de père en fils. Chronique familiale et sociale, racontée en un long flash-back par Huw, le plus jeune garçon, alors enfant, Qu'elle était verte ma vallée possède un charme indicible, une beauté limpide. La rue principale qui monte lentement vers la mine, bordée par les habitations, est le passage obligé emprunté matin et soir par les mineurs pour se rendre au travail et en revenir. Lieu de fête, de rassemblement, de vie et de mort, elle est aussi le décor central du film. Huw décrit ses frères, excédés par les mauvaises conditions de travail et la paye dérisoire ; sa sœur, partagée entre l'amour de son mari, fils du directeur, et l'appartenance à sa classe ; son père, soucieux de son travail.
Volontairement en retrait, John Ford propose simplement le point de vue d'un enfant traumatisé par la dislocation de sa famille, qui réagit avec ses sentiments, ses ignorances, loin de toute prise de conscience politique et sociale... Loin aussi des positions progressistes des Raisins de la colère, réalisé un an auparavant."
Gérard Camy, Télérama
Séances
Vendredi 22 mars 2013 à 20h30
Dimanche 24 mars 2013 à 14h30
Lundi 25 mars 2013 à 18h
Samedi 30 mars 2013 à 16h30
• Vendredi 22 mars • 20:30 • suivi d'une intervention portant sur l'ensemble du cycle par Jérome Baron, président du Cinématographe et directeur artistique du Festival des 3 Continents
Dimanche 24 mars 2013 à 14h30
Lundi 25 mars 2013 à 18h
Samedi 30 mars 2013 à 16h30
• Vendredi 22 mars • 20:30 • suivi d'une intervention portant sur l'ensemble du cycle par Jérome Baron, président du Cinématographe et directeur artistique du Festival des 3 Continents
