FILMER LES VACANCES • JUIN - JUILLET 2017
France, 2012, 55 min
avec Vincent Macaigne, Laure Calamy, Constance Rousseau
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avec Vincent Macaigne, Laure Calamy, Constance Rousseau
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Une petite station balnéaire de la Côte Picarde, la dernière semaine d'août. En leur remettant les clefs d'un appartement de location, Sylvain fait la connaissance d'une jeune mère et de sa fille, aussi séduisantes l'une que l'autre. L'occasion rêvée de sortir ne serait-ce que quelques jours d'une vie solitaire dont les femmes sont désespérément absentes. D'une rare justesse dans sa description de l'ennui provincial, Un monde sans femmes est le film qui a révélé le Vincent Macaigne acteur de cinéma.
"La réussite du film de Guillaume Brac tient à plusieurs traits : si les acteurs sont tous excellents - les interprétations hallucinantes de Vincent Macaigne et de Laure Calamy, révélation comique dont l’hystérie sur le fil se révèle très émouvante, ne devant pas faire oublier que Constance Rousseau et Laurent Papot sont eux aussi très bons - l’écriture du film n’est jamais prise en défaut et la mise en scène sans afféteries se révèle très précise : les silences sont aussi haletants que les fulgurances comiques, le sens des situations est soutenu par un timing parfait. Qualité photosensible d’un cinéma de bord de mer, la lumière de Tom Harari (en pellicule 16 mm) est à l’image du film tout entier, suggérant la fin de l’été dans une douceur voilée de tristesse." Florence Maillard, Cahiers du Cinéma (février 2012)
"La réussite du film de Guillaume Brac tient à plusieurs traits : si les acteurs sont tous excellents - les interprétations hallucinantes de Vincent Macaigne et de Laure Calamy, révélation comique dont l’hystérie sur le fil se révèle très émouvante, ne devant pas faire oublier que Constance Rousseau et Laurent Papot sont eux aussi très bons - l’écriture du film n’est jamais prise en défaut et la mise en scène sans afféteries se révèle très précise : les silences sont aussi haletants que les fulgurances comiques, le sens des situations est soutenu par un timing parfait. Qualité photosensible d’un cinéma de bord de mer, la lumière de Tom Harari (en pellicule 16 mm) est à l’image du film tout entier, suggérant la fin de l’été dans une douceur voilée de tristesse." Florence Maillard, Cahiers du Cinéma (février 2012)
Séances • Juin-juillet 2017
- - jeudi 22/06 19:00 - - dimanche 25/06 16:30 - - jeudi 29/06 20:30