LA FOLLE JOURNÉE : DES CANYONS AUX ÉTOILES • JANVIER 2014
USA, 1954,1h46, VOSTF
avec Marlon Brando, Karl Malden, Eva Marie Saint
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avec Marlon Brando, Karl Malden, Eva Marie Saint
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Un gang mafieux, dirigé par l'avocat Johny Friendly et Charles Malloy, contrôle le syndicat des dockers du port de New York. Le jeune docker Johnny Malloy (Marlon Brando), assiste au meurtre d'un employé qui voulait dénoncer les méthodes illégales du gang. Il se voit pris au piège, tourmenté par l'idée de devoir dénoncer son propre frère, lorsque la jeune Edie Doyle vient lui demander de l'aide pour trouver les meurtriers de la victime, son frère à elle... Les compositions de Leonard Bernstein pour Sur les quais sont les seules que le compositeur n’a pas écrite pour une comédie musicale. Son travail lui a valu une nomination aux Oscars.
"En 1955 (...) Sur les quais (On the Waterfront) est primé au festival de Venise et récompensé par huit Oscars. Le film de Kazan fonctionne sur un système de personnages hiérarchisé, microcosme représentatif des conflits communautaires dans l’Amérique des années cinquante. L’organisation du quotidien des dockers et la survie de leurs familles semblent entièrement asservies au bon vouloir du syndicat...
Carole Milleliri, Critikat
"Dans le film, Terry Malloy, jeune docker, réussit à débarrasser son syndicat du chef qui le tient sous sa coupe, en dénonçant un meurtre dans lequel ce dernier a trempé. On pourra longtemps débattre de la culpabilité que tentait d'évacuer le cinéaste en abordant pour la première fois ce thème de la délation, qui reviendra souvent dans son oeuvre. Mais comment oublier l'admirable réalisme du décor, la peinture du milieu des dockers (tout fut tourné en décors naturels) et la poésie qui imprègne les rapports d'un Marlon Brando exceptionnel et d'Eva Marie Saint. C'est aussi, pour le cinéaste, la première vraie rupture avec l'univers hollywoodien."
Hubert Prolongeau, Télérama
"En 1955 (...) Sur les quais (On the Waterfront) est primé au festival de Venise et récompensé par huit Oscars. Le film de Kazan fonctionne sur un système de personnages hiérarchisé, microcosme représentatif des conflits communautaires dans l’Amérique des années cinquante. L’organisation du quotidien des dockers et la survie de leurs familles semblent entièrement asservies au bon vouloir du syndicat...
Carole Milleliri, Critikat
"Dans le film, Terry Malloy, jeune docker, réussit à débarrasser son syndicat du chef qui le tient sous sa coupe, en dénonçant un meurtre dans lequel ce dernier a trempé. On pourra longtemps débattre de la culpabilité que tentait d'évacuer le cinéaste en abordant pour la première fois ce thème de la délation, qui reviendra souvent dans son oeuvre. Mais comment oublier l'admirable réalisme du décor, la peinture du milieu des dockers (tout fut tourné en décors naturels) et la poésie qui imprègne les rapports d'un Marlon Brando exceptionnel et d'Eva Marie Saint. C'est aussi, pour le cinéaste, la première vraie rupture avec l'univers hollywoodien."
Hubert Prolongeau, Télérama
Séances
Vendredi 31 janvier 18h30
Dimanche 2 février 20h45
Samedi 8 février 14h30
