PROGRAMMATION MAI 2010
Italie, 1976, 1h51, VOSTF
Avec Nino Manfredi, Francesco Anniballi, Maria Bosco
RÉÉDITION
Avec Nino Manfredi, Francesco Anniballi, Maria Bosco
RÉÉDITION
Dans un bidonville à Rome, Giacinto règne en tyran sur sa nombreuse famille. Tous acceptent son autorité et sa mauvaise humeur, car le patriarche possède un magot que chacun espère lui voler. Chaque jour, il lui faut trouver de nouvelles cachettes et défendre son bien fusil en main. Lorsqu'il décide d'installer sa concubine dans le baraquement, la révolte gronde...
« Pamphlet impitoyable, le film livre un constat nihiliste et furibard, d'une cruelle drôlerie. Le scénario fourmille d'inventions à la fois sinistres et cocasses. Scola qualifie lui-même son film de « tragédie satirique ». Au fond de son trou à rats, le patriarche hirsute a des allures de roi shakespearien déchu. On a reproché au film son outrance. Il n'est que le miroir ricanant, à peine déformant, d'une société plus crasseuse que ceux qu'elle rejette. »
Cécile Mury, Télérama
« De Paris, je ferais un portrait sans doute oléographique, beau, plein d'admiration, mais sans haine. Pour Rome, il y a aussi la haine; je crois qu'il faut aussi ce sentiment pour faire un bon portrait. »
Ettore Scola
« Cultivant un discours à la logique sans faille, Scola met en scène un conte moral. Loin de toute position apaisante, il décrit un univers qui n'est que la caricature de notre propre manière de vivre, une course effrénée vers un avoir qui n'est que la destruction de l'être. »
Jean A. Gili
« Pamphlet impitoyable, le film livre un constat nihiliste et furibard, d'une cruelle drôlerie. Le scénario fourmille d'inventions à la fois sinistres et cocasses. Scola qualifie lui-même son film de « tragédie satirique ». Au fond de son trou à rats, le patriarche hirsute a des allures de roi shakespearien déchu. On a reproché au film son outrance. Il n'est que le miroir ricanant, à peine déformant, d'une société plus crasseuse que ceux qu'elle rejette. »
Cécile Mury, Télérama
« De Paris, je ferais un portrait sans doute oléographique, beau, plein d'admiration, mais sans haine. Pour Rome, il y a aussi la haine; je crois qu'il faut aussi ce sentiment pour faire un bon portrait. »
Ettore Scola
« Cultivant un discours à la logique sans faille, Scola met en scène un conte moral. Loin de toute position apaisante, il décrit un univers qui n'est que la caricature de notre propre manière de vivre, une course effrénée vers un avoir qui n'est que la destruction de l'être. »
Jean A. Gili
Séances
Jeudi 20 mai à 18h45
Samedi 22 mai à 21h
Jeudi 27 mai à 21h
Dimanche 30 mai à 14h30
Samedi 22 mai à 21h
Jeudi 27 mai à 21h
Dimanche 30 mai à 14h30