LE CINÉMA DES ENFANTS • POUR LES PLUS GRANDS • 2011/2012
France-Belgique-Espagne-Italie, 2006, 1h39, animation
École et Cinéma - À partir de 4 ans
École et Cinéma - À partir de 4 ans
Il était une fois deux enfants bercés par la même femme : Azur, blond aux yeux bleus, fils de châtelain et Asmar, brun aux yeux noirs, fils de servante. Très vite l’injustice des hommes les sépare mais, marqués par la légende de la Fée des djinns que leur racontait leur nourrice, une quête commune les réunit à nouveau. Un conte coloré au graphisme original.
"Les personnages évoluent, à tous les sens du terme, sur des décors d'une beauté sidérante. La langue arabe, non traduite, et la langue française se font écho tout au long avec la fluidité des sources."
Dominique Widemann, Libération
"Jusqu'à maintenant, les longs métrages en images de synthèse ont été, à de rares exceptions près, l'apanage des grands studios américains qui ont imposé une norme esthétique avec la même violence, la même pesanteur que celle qui a fait du graphisme disneyen la norme universelle de l'animation pendant si longtemps - les fourrures numérisées au poil près remplaçant les truffes noires et brillantes. Parce que Michel Ocelot et son équipe proposent une alternative à cette norme, la vision d'Azur et Asmar est passionnante de bout en bout. Au lieu de jouer une fois de plus sur les illusions de matière et de perspective que permet l'animation en trois dimensions, Azur et Asmar explore les possibilités graphiques et chromatiques des images de synthèse. (…) Entre le prologue médiéval et ses enluminures de pixels et le finale dans le palais de la fée des djinns, qui tient à la fois des chefs-d'œuvre de l'architecture musulmane et des fantaisies orientales du XIXe siècle, Michel Ocelot tisse une tapisserie de plans et d'images qui surprennent et ravissent."
Thomas Sotinel, Le Monde
"Les personnages évoluent, à tous les sens du terme, sur des décors d'une beauté sidérante. La langue arabe, non traduite, et la langue française se font écho tout au long avec la fluidité des sources."
Dominique Widemann, Libération
"Jusqu'à maintenant, les longs métrages en images de synthèse ont été, à de rares exceptions près, l'apanage des grands studios américains qui ont imposé une norme esthétique avec la même violence, la même pesanteur que celle qui a fait du graphisme disneyen la norme universelle de l'animation pendant si longtemps - les fourrures numérisées au poil près remplaçant les truffes noires et brillantes. Parce que Michel Ocelot et son équipe proposent une alternative à cette norme, la vision d'Azur et Asmar est passionnante de bout en bout. Au lieu de jouer une fois de plus sur les illusions de matière et de perspective que permet l'animation en trois dimensions, Azur et Asmar explore les possibilités graphiques et chromatiques des images de synthèse. (…) Entre le prologue médiéval et ses enluminures de pixels et le finale dans le palais de la fée des djinns, qui tient à la fois des chefs-d'œuvre de l'architecture musulmane et des fantaisies orientales du XIXe siècle, Michel Ocelot tisse une tapisserie de plans et d'images qui surprennent et ravissent."
Thomas Sotinel, Le Monde
Séances
Mercredi 21 septembre 2011 à 15:00
Samedi 24 septembre 2011 à 15:00
Dimanche 25 septembre 2011 à 14:30
Samedi 24 septembre 2011 à 15:00
Dimanche 25 septembre 2011 à 14:30
Ce film est programmé dans le cadre du dispositif École et Cinéma.