PROGRAMMATION AVRIL 2006
USA, 1993, 1h27, VOSTF
Avec Billy Wirth, Gabrielle Anwar, Jennifer Tilly, Terry Kinney
Avec Billy Wirth, Gabrielle Anwar, Jennifer Tilly, Terry Kinney
Chargé d'assainir un dépôt de produits toxiques dans une base militaire de l'Alabama, Steve Malone s'installe à Fort Daly avec sa famille. Tous remarquent rapidement que d'étranges activités s'y déroulent dans une ambiance oppressante, certains soldats se plaignant même d'avoir été dépossédés de leur identité.
« Deuxième remake (après la version de Philip Kaufman, en 1978) du classique de Don Siegel, L’Invasion des Profanateurs de Sépultures, où de rusés extraterrestres prennent peu à peu le contrôle d’une petite ville américaine – puis, suppose-t-on, du pays entier. Abel Ferrara l’a réalisée en respectant les lois du genre : montage rapide, suspense bien ficelé, effets spéciaux, volontairement réduits au minimum. Le film de Don Siegel passa longtemps pour un manifeste antimaccarthyste, celui de Ferrara autorise toutes les interprétations : quel est ce mal qui contamine l’Amérique profonde et uniformise esprits et comportements ? La métaphore est riche et ouverte. »
Aurélien Férenzci, Télérama
« Le film de Ferrara aboutit à une réflexion sur la condition du spectateur face aux images et à leurs effets, il interroge notre fascination pour les images. Il s’adresse au spectateur, à qui il est demandé, comme aux personnages, de rester éveillé pour entrer en état de résistance face à la fascination des images et à la production des clones extraterrestres. »
Nicolas Richard, Objectif Cinéma
« Deuxième remake (après la version de Philip Kaufman, en 1978) du classique de Don Siegel, L’Invasion des Profanateurs de Sépultures, où de rusés extraterrestres prennent peu à peu le contrôle d’une petite ville américaine – puis, suppose-t-on, du pays entier. Abel Ferrara l’a réalisée en respectant les lois du genre : montage rapide, suspense bien ficelé, effets spéciaux, volontairement réduits au minimum. Le film de Don Siegel passa longtemps pour un manifeste antimaccarthyste, celui de Ferrara autorise toutes les interprétations : quel est ce mal qui contamine l’Amérique profonde et uniformise esprits et comportements ? La métaphore est riche et ouverte. »
Aurélien Férenzci, Télérama
« Le film de Ferrara aboutit à une réflexion sur la condition du spectateur face aux images et à leurs effets, il interroge notre fascination pour les images. Il s’adresse au spectateur, à qui il est demandé, comme aux personnages, de rester éveillé pour entrer en état de résistance face à la fascination des images et à la production des clones extraterrestres. »
Nicolas Richard, Objectif Cinéma
SEANCES
vendredi 28 avril à 18h30
samedi 29 avril à 20h30
samedi 29 avril à 20h30