PROGRAMMATION FÉVRIER 2011
USA-GB-Espagne-Mexique, 1991, 1h52, VOSTF
Avec Juan Diego, Daniel Gimenez-Cacho, Roberto Sosa
RÉÉDITION
Avec Juan Diego, Daniel Gimenez-Cacho, Roberto Sosa
RÉÉDITION
La véritable et extraordinaire aventure de l’explorateur espagnol Alvar Núñez Cabeza de Vaca, qui en tant que trésorier de Charles V d’Espagne, s’embarque en 1528 pour la Floride au sein de l’expédition dirigée par Panfilo de Narvaez avec plus de 500 hommes... Cabeza de Vaca raconte l’histoire de ce conquérant emporté par la réalité et la fiction du Nouveau Monde en une odyssée hallucinante et grandiose.
« On est plus proche de la vision d’un Werner Herzog ou du cinéma ethnographique que d’une fresque hollywoodienne avec sa dimension plus ou moins prononcée de kitsch et d’artificialité, même si la thématique fait penser à Danse avec les loups de Kevin Costner. Les scènes de guérison et de chamanisme sont particulièrement saisissantes. Le paradoxe de ce rendu vériste est que Cabeza de Vaca est une fiction à budget important. (...) Quand à Nicolás Echevarría, on n’en a plus entendu parler, du moins de ce côté des Pyrénées. Raison de plus pour découvrir cet objet filmique non indentifié bienvenu : malgré ses 20 ans, sa beauté singulière et son propos sont sans âge. »
Serge Kaganski, Les Inrockuptibles
« Les premières séquences de Cabeza de Vaca font redouter une copie fauchée d'Aguirre, la colère de Dieu. Mais le film de Nicolás Echevarría se démarque du chef-d'œuvre lyrique de Werner Herzog par son approche quasi documentaire : le réalisateur mexicain reconstitue en ethnologue les rituels chamaniques et le quotidien de ces tribus amérindiennes, anéanties depuis des siècles. L'interprétation hallucinée, très physique, de Juan Diego rend émouvant son personnage de conquistador mystique, protecteur des Indiens au point de devenir un étranger pour les siens. »
Samuel Douhaire, Télérama
« On est plus proche de la vision d’un Werner Herzog ou du cinéma ethnographique que d’une fresque hollywoodienne avec sa dimension plus ou moins prononcée de kitsch et d’artificialité, même si la thématique fait penser à Danse avec les loups de Kevin Costner. Les scènes de guérison et de chamanisme sont particulièrement saisissantes. Le paradoxe de ce rendu vériste est que Cabeza de Vaca est une fiction à budget important. (...) Quand à Nicolás Echevarría, on n’en a plus entendu parler, du moins de ce côté des Pyrénées. Raison de plus pour découvrir cet objet filmique non indentifié bienvenu : malgré ses 20 ans, sa beauté singulière et son propos sont sans âge. »
Serge Kaganski, Les Inrockuptibles
« Les premières séquences de Cabeza de Vaca font redouter une copie fauchée d'Aguirre, la colère de Dieu. Mais le film de Nicolás Echevarría se démarque du chef-d'œuvre lyrique de Werner Herzog par son approche quasi documentaire : le réalisateur mexicain reconstitue en ethnologue les rituels chamaniques et le quotidien de ces tribus amérindiennes, anéanties depuis des siècles. L'interprétation hallucinée, très physique, de Juan Diego rend émouvant son personnage de conquistador mystique, protecteur des Indiens au point de devenir un étranger pour les siens. »
Samuel Douhaire, Télérama
Séances
mercredi 26 janvier à 20h30
samedi 29 janvier à 18h45
mardi 1er février à 18h30
jeudi 3 février à 21h
dimanche 6 février à 20h30
samedi 29 janvier à 18h45
mardi 1er février à 18h30
jeudi 3 février à 21h
dimanche 6 février à 20h30