PROGRAMMATION DÉCEMBRE 2008
USA, 1963, 1h54, VOSTF
Avec Cary Grant, Audrey Hepburn, Walter Matthau, James Coburn, George Kennedy, Ned Glass, Jacques Marin, Paul Bonifas
Avec Cary Grant, Audrey Hepburn, Walter Matthau, James Coburn, George Kennedy, Ned Glass, Jacques Marin, Paul Bonifas
De retour des sports d'hiver, Reggie Lambert retrouve son appartement parisien sens dessus dessous et son mari assassiné. L'inspecteur Grandpierre lui explique que son époux avait détourné pendant la guerre un magot destiné à la Résistance française. Ses anciens complices ont dû vraisemblablement l'abattre, voyant qu'il voulait profiter seul du trésor. Suspectée par les acolytes de son mari, Reggie ne sait plus où donner de la tête. Même Joshua, rencontré aux sports d'hiver, près duquel elle cherchait un appui, semble impliqué dans cette affaire....
« L'intégralité du casting est (...) sensationnelle, tout autant que les dialogues avec leurs réparties qui fusent du tac au tac, la musique de Mancini, nominé à l'Oscar, le générique de début, formidable de sophistication, sans oublier la garde-robe de Miss Hepburn, créée par Hubert de Givenchy. »
Marianne Spozio, aVoir-aLire.com
« Panoramique dans la grisaille d’une campagne française. Un train entaille le paysage à toute vitesse, le corps d’un homme en est projeté, dévale une pente, échoue dans les taillis. Mort. Henry Mancini lance des percussions endiablées et une guitare électrique à la James Bond sur un générique pop : c’est parti pour . »
Raphaël Lefèvre, « Mascarade »,www.critikat.com
« Hitchcock avait baptisé «McGuffin» tout ce qui, dans ses intrigues, était censé faire courir et s’entretuer ses personnages, mais dont le spectateur se moquait éperdument. Ici, le McGuffin, ce sont 250.000 dollars volés, revolés et volatilisés. Mais les dollars nous indiffèrent : on a d’yeux que pour le marivaudage du couple Cary Grant-Audrey Hepburn. Pour l’élégance de Stanley Donen, qui filme Paris comme personne et passe avec grâce d’une bagarre sur les toits à une promenade romantique sur les quais de la Seine. Tout est beau dans Charade, gracieux et sophistiqué : du générique célèbre de Maurice Binder à la musique mystérieuse de Henry Mancini. Et puis, il y a Audrey Hepburn. Cary Grant, qui, dans l’histoire, ne fait que lui mentir, la contemple longuement sur le bateau-mouche où il l’a entraînée, prétendument pour lui dire la vérité. «Qu’est-ce que j’ai ?», demande Audrey. «C’est juste que vous êtes adorable», répond Cary. Et, à cet instant, on est certain qu’il ne ment pas. »
Pierre Murat, Télérama
« L'intégralité du casting est (...) sensationnelle, tout autant que les dialogues avec leurs réparties qui fusent du tac au tac, la musique de Mancini, nominé à l'Oscar, le générique de début, formidable de sophistication, sans oublier la garde-robe de Miss Hepburn, créée par Hubert de Givenchy. »
Marianne Spozio, aVoir-aLire.com
« Panoramique dans la grisaille d’une campagne française. Un train entaille le paysage à toute vitesse, le corps d’un homme en est projeté, dévale une pente, échoue dans les taillis. Mort. Henry Mancini lance des percussions endiablées et une guitare électrique à la James Bond sur un générique pop : c’est parti pour . »
Raphaël Lefèvre, « Mascarade »,www.critikat.com
« Hitchcock avait baptisé «McGuffin» tout ce qui, dans ses intrigues, était censé faire courir et s’entretuer ses personnages, mais dont le spectateur se moquait éperdument. Ici, le McGuffin, ce sont 250.000 dollars volés, revolés et volatilisés. Mais les dollars nous indiffèrent : on a d’yeux que pour le marivaudage du couple Cary Grant-Audrey Hepburn. Pour l’élégance de Stanley Donen, qui filme Paris comme personne et passe avec grâce d’une bagarre sur les toits à une promenade romantique sur les quais de la Seine. Tout est beau dans Charade, gracieux et sophistiqué : du générique célèbre de Maurice Binder à la musique mystérieuse de Henry Mancini. Et puis, il y a Audrey Hepburn. Cary Grant, qui, dans l’histoire, ne fait que lui mentir, la contemple longuement sur le bateau-mouche où il l’a entraînée, prétendument pour lui dire la vérité. «Qu’est-ce que j’ai ?», demande Audrey. «C’est juste que vous êtes adorable», répond Cary. Et, à cet instant, on est certain qu’il ne ment pas. »
Pierre Murat, Télérama
SEANCES
Mercredi 24 décembre à 18h30
Samedi 27 décembre à 21h
Lundi 29 décembre à 20h30
Samedi 27 décembre à 21h
Lundi 29 décembre à 20h30