PROGRAMMATION MARS 2005
France, 2003, 1h43
Chronique de trois jeunes femmes bosniaques à l'issue du récent conflit. Réunies dans une grande maison avec tant d'autres le temps d'un travail thérapeutique, elles tentent, à travers une parole souvent difficile, de faire le choix de la vie et de retrouver un sens à une existence ravagée par la guerre...
« Après le spectacle d’un conflit, vient la paix. Mais la guerre ne finit jamais, elle continue sur un autre plan : c’est une guerre intérieure, une guerre solitaire contre le néant et pour la vie. […] Il faudrait libérer la parole, c’est un enjeu de la survie. » Laurent Bécue-Renard (Ouest France)
« Laurent Bécue-Renard […] ne se contente pas de faire œuvre d’historien. De briser le silence qui s’abat sur les victimes quand les armes se sont tues et que les télévisions ont plié bagages. Il nous offre une saisissante chronique de la renaissance. Tout en sobriété et retenue, et touche le nerf de la vie. » Isabelle Fajardo (Télérama)
« On sort de ce bouleversant film documentaire plus léger, plus confiant en l’humanité. […] Ce film est un manifeste pour l’intelligence et la paix, comme on en voit rarement. Un film d’après guerre qui vaut tous les films de guerre. » Jean-Luc Porquet (Le Canard Enchaîné)
« Après le spectacle d’un conflit, vient la paix. Mais la guerre ne finit jamais, elle continue sur un autre plan : c’est une guerre intérieure, une guerre solitaire contre le néant et pour la vie. […] Il faudrait libérer la parole, c’est un enjeu de la survie. » Laurent Bécue-Renard (Ouest France)
« Laurent Bécue-Renard […] ne se contente pas de faire œuvre d’historien. De briser le silence qui s’abat sur les victimes quand les armes se sont tues et que les télévisions ont plié bagages. Il nous offre une saisissante chronique de la renaissance. Tout en sobriété et retenue, et touche le nerf de la vie. » Isabelle Fajardo (Télérama)
« On sort de ce bouleversant film documentaire plus léger, plus confiant en l’humanité. […] Ce film est un manifeste pour l’intelligence et la paix, comme on en voit rarement. Un film d’après guerre qui vaut tous les films de guerre. » Jean-Luc Porquet (Le Canard Enchaîné)
SEANCES
jeudi 3 mars à 20h30
samedi 5 mars à 18h30
lundi 7 mars à 20h30
Lundi 7 mars à 20h30 : projection suivie d’un débat avec Anne-Marie LEVASSEUR (Assemblée eeuropéenne des Citoyens) et Laurent Bécue-Renard (réalisateur du film)
samedi 5 mars à 18h30
lundi 7 mars à 20h30
Lundi 7 mars à 20h30 : projection suivie d’un débat avec Anne-Marie LEVASSEUR (Assemblée eeuropéenne des Citoyens) et Laurent Bécue-Renard (réalisateur du film)