PROGRAMMATION SEPTEMBRE 2010
Japon, 1970, 2h15, VOSTF
Dans un des plus grands bidonvilles de Tokyo, huit personnages vivent dans une misère morale et physique complète qui les mènera jusqu’à la folie… Une plongée crépusculaire dans les bas-fonds de la société japonaise.
« Le propos de Kurosawa n’est pas de nous dépayser, de nous épater avec des types humains sortant de l’ordinaire. Dodes’Kaden est une date dans l’histoire de la description cinématographique des être humains. Il est l’égal de certains films de Rossellini, de Godard, bref de ceux qui cherchent à rendre compte de la vie sans se contenter de la dépeindre artistement (…) Kurosawa a pris tous les risques d’être mal compris (Couleurs irréalistes, toiles peintes, conflits psychologiques aux issues improbables). Mais tout cela, on ne le saisit qu’après avoir été, pendant toute la projection, à la fois victime d’émotions irrésistibles et, malgré tout, lucidement juge de tout ce qu’une certaine forme d’existence a d’inacceptable. »
Philippe Collin
« Le propos de Kurosawa n’est pas de nous dépayser, de nous épater avec des types humains sortant de l’ordinaire. Dodes’Kaden est une date dans l’histoire de la description cinématographique des être humains. Il est l’égal de certains films de Rossellini, de Godard, bref de ceux qui cherchent à rendre compte de la vie sans se contenter de la dépeindre artistement (…) Kurosawa a pris tous les risques d’être mal compris (Couleurs irréalistes, toiles peintes, conflits psychologiques aux issues improbables). Mais tout cela, on ne le saisit qu’après avoir été, pendant toute la projection, à la fois victime d’émotions irrésistibles et, malgré tout, lucidement juge de tout ce qu’une certaine forme d’existence a d’inacceptable. »
Philippe Collin
Séances
Mercredi 25 août à 21h
Vendredi 27 août à 21h
Samedi 28 août à 19h
Vendredi 27 août à 21h
Samedi 28 août à 19h