RÉTROSPECTIVE DELPHINE SEYRIG (REPORTÉE) • NOVEMBRE 2020
Allemagne, 1984, 2h27, VOSTF
avec Veruschka von Lehndorff, Delphine Seyrig, Tabea Blumenschein, Toyo Tanaka
NUM, version restaurée
avec Veruschka von Lehndorff, Delphine Seyrig, Tabea Blumenschein, Toyo Tanaka
NUM, version restaurée
Dans un souterrain (ou un égout ?), Madame le docteur Mabuse, patronne de la presse à sensation mondiale, contrôle les tirages. Il faut les augmenter... Ulrike Ottinger, peintre, cinéaste, photographe, une des figures de l’avant-garde artistique allemande, se réfère au passé - Mabuse, Golem - et s’appuie sur nombre de collaborateurs réguliers de Fassbinder. Elle modernise les écrans du héros de Lang pour une charge virulente contre la presse à sensation, les médias en général, dans un foisonnement d’images baroques, surréalistes qui ont l’air de digressions permanentes - jusqu’à un opéra délirant - mais reviennent toujours taper au même endroit. Et Madame Mabuse, c’est Delphine Seyrig, en allemand, français, anglais...
