PROGRAMMATION SEPTEMBRE 2004
Italie, 1983, 2h12, VOSTF
avec Victor Poletti, Peter Cellier, Barbara Jefford, Freddie Jones
avec Victor Poletti, Peter Cellier, Barbara Jefford, Freddie Jones
Juillet 1914. Le « Gloria N. » se prépare à quitter le port pour une étrange croisière. Le reporter Orlando, filmé par l'équipe de cinéma présente, explique qu'au terme de ce voyage, les cendres de la grande cantatrice Edmea Tetua seront dispersées au large d'une île de l'Adriatique… Orlando présente les participants du voyage, tous admirateurs de la « diva – défunte » : chanteurs, chefs d'orchestres, mélomanes, ainsi que le grand duc d'Autriche-Hongrie, accompagné de sa suite. Les jours passent. La troisième nuit, au cours d'une séance de spiritisme, la morte apparaît. Ce n'est en fait qu'une plaisanterie. Des réfugiés serbes, fuyant leur pays envahi par l'Autriche, sont recueillis à bord, alors qu'un cuirassé austro-hongrois croise au large... La présence insolite de ces étrangers perturbe la vie des passagers. Le navire, au terme de son pèlerinage, sombre sous le feu du bâtiment de guerre, lui-même détruit par une bombe des naufragés serbes. Dans une barque, Orlando a survécu grâce au lait du rhinocéros géant, lui aussi rescapé du naufrage.
"Je voulais faire un film dans le style des premières pellicules, donc en noir et blanc, voire même rayé, avec des taches d'humidité comme une pièce de cinémathèque. Un faux, en somme, et c'est cela justement qui me séduisait car je pense que c'est ainsi que doit être le vrai cinéma". Federico Fellini
" (...) Il a joué le jeu du cinéma muet en noir et blanc avec intertitres dans la séquence d'ouverture, jusqu'à ce que le son, la parole et la couleur apparaissent au moment où le bateau lève l'ancre. Et même par la suite, il s'amuse à rester fidèle à certaines caractéristiques des vieilles bandes muettes: les plans fixes, le rythme saccadé des mouvements et, en conclusion, une belle fermeture en iris." M. Martin, La revue du Cinéma -n°390
"Je voulais faire un film dans le style des premières pellicules, donc en noir et blanc, voire même rayé, avec des taches d'humidité comme une pièce de cinémathèque. Un faux, en somme, et c'est cela justement qui me séduisait car je pense que c'est ainsi que doit être le vrai cinéma". Federico Fellini
" (...) Il a joué le jeu du cinéma muet en noir et blanc avec intertitres dans la séquence d'ouverture, jusqu'à ce que le son, la parole et la couleur apparaissent au moment où le bateau lève l'ancre. Et même par la suite, il s'amuse à rester fidèle à certaines caractéristiques des vieilles bandes muettes: les plans fixes, le rythme saccadé des mouvements et, en conclusion, une belle fermeture en iris." M. Martin, La revue du Cinéma -n°390
SEANCES
MERCREDI 15 SEPTEMBRE A 20H30
VENDREDI 17 SEPTEMBRE A 20H30
DIMANCHE 19 SEPTEMBRE A 18H30
VENDREDI 17 SEPTEMBRE A 20H30
DIMANCHE 19 SEPTEMBRE A 18H30