PROGRAMMATION DÉCEMBRE 2008
USA, 1932, 1h11, VOSTF
Avec Colin Clive, Mae Clarke, John Boles, Boris Karloff, Edward Van Sloan
Avec Colin Clive, Mae Clarke, John Boles, Boris Karloff, Edward Van Sloan
Un jeune savant du nom de Henry Frankenstein travaille depuis de longues années à réaliser son rêve : créer dans son laboratoire un véritable être humain. Pour cela, il a façonné un corps à partir de différents membres prélevés sur des cadavres. Puis il a posé un cerveau sous la boîte crânienne, le cerveau d’un criminel. Enfin, il a injecté dans ce corps et ce cerveau une étincelle de vie. De cette expérience unique est née une créature au physique de monstre, dotée d’une force incroyable.
« [A propos de Frankenstein et La fiancée de Frankenstein] (...) ces deux oeuvres populaires et légendaires n'en finissent pas de fasciner, grâce à leurs deux interprètes principaux (...), mais aussi grâce à sa mise en image sous influence expressionniste.»
Jean-Baptiste Morain, Les Inrockuptibles
« Près de 80 ans nous séparent la sortie de Frankenstein, 80 ans pendant lesquels la créature impie et tragique façonnée par le scientifique fou a profondément marqué autant l’imagerie du fantastique que l’imaginaire collectif. Mais si le maquillage éternellement reconnaissable dû à Jack Pierce a traversé un siècle de cinéma sans prendre une ride, redécouvrir Frankenstein aujourd’hui permet de se rendre compte à quel point, par l’utilisation qu’il a fait de ses références - et de celle de son prédécesseur au fauteuil de réalisateur Robert Florey - le réalisateur James Whale a profondément codifié l’univers du fantastique à venir. »
Vincent Avenel, « Monstre Sacré », www.critikat.com
« [A propos de Frankenstein et La fiancée de Frankenstein] (...) ces deux oeuvres populaires et légendaires n'en finissent pas de fasciner, grâce à leurs deux interprètes principaux (...), mais aussi grâce à sa mise en image sous influence expressionniste.»
Jean-Baptiste Morain, Les Inrockuptibles
« Près de 80 ans nous séparent la sortie de Frankenstein, 80 ans pendant lesquels la créature impie et tragique façonnée par le scientifique fou a profondément marqué autant l’imagerie du fantastique que l’imaginaire collectif. Mais si le maquillage éternellement reconnaissable dû à Jack Pierce a traversé un siècle de cinéma sans prendre une ride, redécouvrir Frankenstein aujourd’hui permet de se rendre compte à quel point, par l’utilisation qu’il a fait de ses références - et de celle de son prédécesseur au fauteuil de réalisateur Robert Florey - le réalisateur James Whale a profondément codifié l’univers du fantastique à venir. »
Vincent Avenel, « Monstre Sacré », www.critikat.com
SEANCES
Mercredi 3 décembre à 20h30
Samedi 6 décembre à 21h
Lundi 8 décembre à 18h30
Vendredi 12 décembre à 20h30
Lundi 15 décembre à 18h30
Samedi 6 décembre à 21h
Lundi 8 décembre à 18h30
Vendredi 12 décembre à 20h30
Lundi 15 décembre à 18h30