PROGRAMMATION JUIN-JUILLET 2004
USA, 1999, 1h56, VOSTF
avec Forest Whitaker, Cliff Gorman, Henry Silva, John Tormey, Isaach de Bankolé
avec Forest Whitaker, Cliff Gorman, Henry Silva, John Tormey, Isaach de Bankolé
Guidé par les mots d'un ancien texte Samouraï, Ghost Dog est un tueur professionnel qui se fond dans la nuit et se glisse dans la ville sans qu'on le remarque. Quand son code moral est trahi par le dysfonctionnement d'une famille mafieuse qui l'emploie à l'occasion, il réagit strictement, selon la Voie du Samouraï...
« C’est un film de combat étrangement calme. Une sorte de trip, rythmé par un mélange de rap et d’ambient. Vues aériennes sur les blocs, travellings coulants dans les rues, on est bien dans une mégalopole, mais qui semble désertée, presque pacifiée. La violence y règne, pourtant. Ghost Dog, samouraï des temps modernes roule en berlines de luxe et cultive le look « gangsta » ; et si le sabre fait une (courte) apparition, c’est bien le revolver qui a ses faveurs. Hip hop et culture black hantent tout le film. Mais c’est en poète mélancolique que Jarmush évoque ce monde indéchiffrable. Il filme comme d’autres scandent du rap, concentrant puissance et souplesse. A l’image de Forest Whitaker : massif, regard fixe et masque impassible. Le moindre de ses gestes semble relever d’un art martial. Cérémoniel et très ancien. » Jacques Morice (Télérama)
« C’est un film de combat étrangement calme. Une sorte de trip, rythmé par un mélange de rap et d’ambient. Vues aériennes sur les blocs, travellings coulants dans les rues, on est bien dans une mégalopole, mais qui semble désertée, presque pacifiée. La violence y règne, pourtant. Ghost Dog, samouraï des temps modernes roule en berlines de luxe et cultive le look « gangsta » ; et si le sabre fait une (courte) apparition, c’est bien le revolver qui a ses faveurs. Hip hop et culture black hantent tout le film. Mais c’est en poète mélancolique que Jarmush évoque ce monde indéchiffrable. Il filme comme d’autres scandent du rap, concentrant puissance et souplesse. A l’image de Forest Whitaker : massif, regard fixe et masque impassible. Le moindre de ses gestes semble relever d’un art martial. Cérémoniel et très ancien. » Jacques Morice (Télérama)
SEANCES
MERCREDI 16 JUIN A 20H30
JEUDI 24 JUIN A 20H30
SAMEDI 26 JUIN A 16H + LECON DE CINEMA
DIMANCHE 27 JUIN A 16H
JEUDI 24 JUIN A 20H30
SAMEDI 26 JUIN A 16H + LECON DE CINEMA
DIMANCHE 27 JUIN A 16H