PROGRAMMATION OCTOBRE 2007
USA, 2005, 1h17, VOSTF, animation
Comme dans Carrie, Cherri et Rod sont la reine et le roi du collège. Cherri tombe amoureuse de Spud. Rod, jaloux, précipite leur voiture au fond d'un lac alors qu'ils se rendaient au nouveau bal de fin d'année. L'année suivante, au soir du bal, les squelettes de Cherri et Spud s'invitent à la fête pour se faire vengeance...
« Mélant mythologie fifties à son sens de la provoc cultivée, Plympton propose en même temps un "musical" [...] un manifeste "maverick" et une fable autobiographique. »
Thierry Méranger, Les Cahiers du Cinéma
« Un conte capillaire où les garçons jouent à qui aura la plus longue (banane) et les filles, la choucroute la plus vertigineuse. Hair high offrira aux profanes un accès plus doux au monde absurde et gore de Bill, mais les accros y trouveront leur compte. »
Guillemette Olivier, Télérama
« Narrativement plus rigoureux que ses précédentes oeuvres, plastiquement d'une cohérence sans faille et nanti de personnages réellement consistants, Hair High a quelque chose de la maturité. Une hausse qualitative d'autant plus bienvenue, qu'elle ne rogne en rien sur la spontanéité de l'animation du bonhomme.On savait ses caricatures capables de choquer, de fasciner, de faire rire et d'étonner, mais on ignorait encore qu'elle étaient capables d'émouvoir. »
Julien Dupuy, Mad Movies
« Bill Plympton snobe l'ordinateur et continue à faire ses croquis sur sa table lumineuse, à la main, selon l'ancienne technique des calques superposés au décor.[...] Cantonné jusqu'ici dans l'imagerie incongrue et la sexualité débridée, le surréalisme congénital de Bill Plympton se souvient alors de l'amour fou prôné par André Breton et des songes sous-marins de L'Atalante. [...] Hair High fait exploser dans toutes les directions un feu d'artifice d'idées plus ou moins trash. »
Jean-Luc Douin, chronicart.com
« Mélant mythologie fifties à son sens de la provoc cultivée, Plympton propose en même temps un "musical" [...] un manifeste "maverick" et une fable autobiographique. »
Thierry Méranger, Les Cahiers du Cinéma
« Un conte capillaire où les garçons jouent à qui aura la plus longue (banane) et les filles, la choucroute la plus vertigineuse. Hair high offrira aux profanes un accès plus doux au monde absurde et gore de Bill, mais les accros y trouveront leur compte. »
Guillemette Olivier, Télérama
« Narrativement plus rigoureux que ses précédentes oeuvres, plastiquement d'une cohérence sans faille et nanti de personnages réellement consistants, Hair High a quelque chose de la maturité. Une hausse qualitative d'autant plus bienvenue, qu'elle ne rogne en rien sur la spontanéité de l'animation du bonhomme.On savait ses caricatures capables de choquer, de fasciner, de faire rire et d'étonner, mais on ignorait encore qu'elle étaient capables d'émouvoir. »
Julien Dupuy, Mad Movies
« Bill Plympton snobe l'ordinateur et continue à faire ses croquis sur sa table lumineuse, à la main, selon l'ancienne technique des calques superposés au décor.[...] Cantonné jusqu'ici dans l'imagerie incongrue et la sexualité débridée, le surréalisme congénital de Bill Plympton se souvient alors de l'amour fou prôné par André Breton et des songes sous-marins de L'Atalante. [...] Hair High fait exploser dans toutes les directions un feu d'artifice d'idées plus ou moins trash. »
Jean-Luc Douin, chronicart.com
SEANCES
Mercredi 17 octobre à 18h30
Vendredi 19 octobre à 20h30
Samedi 20 octobre à 22h
Vendredi 19 octobre à 20h30
Samedi 20 octobre à 22h