RÉTROSPECTIVE MARTIN SCORSESE • AOÛT-SEPTEMBRE 2018
USA, 2011, 2h08, VOSTF
avec Asa Butterfield, Chloë Grace Moretz, Ben Kingsley, Sacha Baron Cohe, Jude Law
NUM
À partir de 8 ans
avec Asa Butterfield, Chloë Grace Moretz, Ben Kingsley, Sacha Baron Cohe, Jude Law
NUM
À partir de 8 ans
Dans les années 20, à Paris, le fils d’un horloger dont le père meurt, vit avec son oncle dans la gare Montparnasse dont il règle les horloges. De son père lui reste un mystérieux robot qu’il cherche à réparer... Utilisant toutes les techniques modernes, de la 3D aux images de synthèse, Scorsese crée un Paris d’époque auquel le numérique donne une tonalité décalée, une touche d’irréalité qui sied parfaitement à ce conte fantastique qui rend un hommage ému à Méliès, à ses films, aux films des débuts du cinéma tant en les montrant ou en reconstituant les tournages voire même en réadaptant une scène d’un film avec Harold Lloyd. La version poétique et magique de sa World Cinema Fondation qui restaure des films dans le monde entier.
"Pourquoi une telle fête, un spectacle si foisonnant ? Pour réenchanter un monde où les illusions sont trop fragiles et les rêveurs trop souvent déçus. Il faut consoler Méliès, qui a perdu son studio de cinéma, et consoler Hugo, qui a perdu son père, un visionnaire lui aussi, capable de percer le secret des automates. Pour cela, Scorsese a sa clé magique, capable de réinsuffler le merveilleux : ce sont les moyens numériques d'aujourd'hui, qui redéploient les possibles. Avec des images qui croisent toutes les techniques (dessins qui s'animent, tableaux de Paris qui semblent effectivement des peintures, caméra lancée dans une course sans limites), Hugo Cabret fait le lien entre cinéma d'hier et d'aujourd'hui." Frédéric Strauss, Télérama (décembre 2011)
"Pourquoi une telle fête, un spectacle si foisonnant ? Pour réenchanter un monde où les illusions sont trop fragiles et les rêveurs trop souvent déçus. Il faut consoler Méliès, qui a perdu son studio de cinéma, et consoler Hugo, qui a perdu son père, un visionnaire lui aussi, capable de percer le secret des automates. Pour cela, Scorsese a sa clé magique, capable de réinsuffler le merveilleux : ce sont les moyens numériques d'aujourd'hui, qui redéploient les possibles. Avec des images qui croisent toutes les techniques (dessins qui s'animent, tableaux de Paris qui semblent effectivement des peintures, caméra lancée dans une course sans limites), Hugo Cabret fait le lien entre cinéma d'hier et d'aujourd'hui." Frédéric Strauss, Télérama (décembre 2011)
Séances • Septembre 2018
- - samedi 1/09 14:15 - - mardi 11/09 20:30
