PROGRAMMATION OCTOBRE 2005
Japon, 1942, 1h26, VOSTF
avec Chishu Ryu, Shuji Sano, Haruhiko Tsuda, Shin Saburi, Takeshi Sakamotou
avec Chishu Ryu, Shuji Sano, Haruhiko Tsuda, Shin Saburi, Takeshi Sakamotou
C’est l’histoire d’un homme veuf, droit, travailleur, responsable. Il aimerait bien vivre avec son fils qu’il aime, mais doit subvenir à leurs besoins, et le marché du travail les oblige à vivre loin l’un de l’autre. Ce qui devait être une séparation provisoire devient définitif, le père et le fils ne se revoyant qu’occasionnellement . Le fils fait de brillantes études car son père s’est sacrifié pour lui. Son fils lui annonce son départ pour la guerre…
« Oeuvre charnière dans la carrière d'Ozu, entre ses films de jeunesse, imprégnés par l'air du temps, et ceux de la maturité, centrés sur les relations familiales, "Il était un père" résume la force du cinéma du maître japonais. Il était un grand réalisateur, Yasujiro Ozu. »
Julien Camy, L’Express
« On est face à quelque chose que le cinéma, en 1943, n'avait pas encore filmé : un père et un fils qui se parlent, d'égal à égal. Leurs obsessions ne tiennent qu'à un fil (le temps qui passe). Mais la façon dont Ozu les regarde tous les deux échanger ce lien essentiel n'a pas d'égal. »
Philippe Azoury, Libération
« Pour qui n'aurait encore jamais vu un film d'Ozu et souhaiterait l'approcher à cette occasion, il suffira de quelques plans pour se convaincre qu'il y a là du cinéma (...) À l'occasion, on ne manquera pas de mémoriser le découpage de la dernière séquence pour le restant de ses jours. Il n'est pas interdit de la considérer, dans sa sobriété, comme une des plus éblouissantes de l'histoire du septième art. »
Jean Roy, L'Humanité
« Oeuvre charnière dans la carrière d'Ozu, entre ses films de jeunesse, imprégnés par l'air du temps, et ceux de la maturité, centrés sur les relations familiales, "Il était un père" résume la force du cinéma du maître japonais. Il était un grand réalisateur, Yasujiro Ozu. »
Julien Camy, L’Express
« On est face à quelque chose que le cinéma, en 1943, n'avait pas encore filmé : un père et un fils qui se parlent, d'égal à égal. Leurs obsessions ne tiennent qu'à un fil (le temps qui passe). Mais la façon dont Ozu les regarde tous les deux échanger ce lien essentiel n'a pas d'égal. »
Philippe Azoury, Libération
« Pour qui n'aurait encore jamais vu un film d'Ozu et souhaiterait l'approcher à cette occasion, il suffira de quelques plans pour se convaincre qu'il y a là du cinéma (...) À l'occasion, on ne manquera pas de mémoriser le découpage de la dernière séquence pour le restant de ses jours. Il n'est pas interdit de la considérer, dans sa sobriété, comme une des plus éblouissantes de l'histoire du septième art. »
Jean Roy, L'Humanité
SEANCES
jeudi 13 octobre à 20h30
vendredi 14 octobre à 18h
samedi 15 octobre à 20h30
mercredi 19 octobre à 18h30
vendredi 21 octobre à 18h30
samedi 22 octobre à 21h
lundi 24 octobre à 20h30
INÉDIT À NANTES
vendredi 14 octobre à 18h
samedi 15 octobre à 20h30
mercredi 19 octobre à 18h30
vendredi 21 octobre à 18h30
samedi 22 octobre à 21h
lundi 24 octobre à 20h30
INÉDIT À NANTES