PROGRAMMATION JUIN-JUILLET 2010
Italie, 1971, 2h33, VOSTF
Avec Rod Steiger, James Coburn, Romolo Valli, Rik Battaglia
RÉÉDITION
Avec Rod Steiger, James Coburn, Romolo Valli, Rik Battaglia
RÉÉDITION
Mexique, 1913. Un pilleur de diligences, Juan Miranda, et un Irlandais, ancien membre de l'IRA spécialiste en explosifs, John Mallory, font connaissance. Juan a toujours rêvé de dévaliser la banque centrale de Mesa Verde et voit en John le complice idéal pour son braquage. Il fait chanter John afin de le persuader de s'associer à l'affaire.
Tous deux se trouvent plongés en plein coeur de la tourmente de la révolution mexicaine, et Mesa Verde se révèle plus riche en prisonniers politiques qu'en lingots d'or. Malgré eux, les deux amis deviennent les héros d'une guerre qui n'est pas la leur...
« Dans la colossale filmographie de Sergio Leone, Il était une fois la révolution occupe une place à part. Film un peu maudit, mais surtout injustement méconnu. Situé entre Il était une fois dans l'Ouest et Il était une fois en Amérique, c'est le deuxième volet du triptyque consacré par Leone au dézingage des mythes fondateurs américains. C'est aussi son dernier western. »
Jérémie Couston, Télérama
« Il était une fois la révolution n’est pas un western pop et parodique, c’est une fresque désenchantée et spectaculaire. Le western révolutionnaire était depuis 68 un sous-genre florissant dans le cinéma populaire italien, synchrone avec les mouvements gauchistes. En 1971, Leone s’inscrit contre cette tendance. Anarchisant, il exprime les déceptions de sa jeunesse socialiste, son scepticisme devant les idéologies. Son film démontre que toute révolution est une révolution trahie et que révolution égale confusion. »
Olivier Père, Les Inrockuptibles
Tous deux se trouvent plongés en plein coeur de la tourmente de la révolution mexicaine, et Mesa Verde se révèle plus riche en prisonniers politiques qu'en lingots d'or. Malgré eux, les deux amis deviennent les héros d'une guerre qui n'est pas la leur...
« Dans la colossale filmographie de Sergio Leone, Il était une fois la révolution occupe une place à part. Film un peu maudit, mais surtout injustement méconnu. Situé entre Il était une fois dans l'Ouest et Il était une fois en Amérique, c'est le deuxième volet du triptyque consacré par Leone au dézingage des mythes fondateurs américains. C'est aussi son dernier western. »
Jérémie Couston, Télérama
« Il était une fois la révolution n’est pas un western pop et parodique, c’est une fresque désenchantée et spectaculaire. Le western révolutionnaire était depuis 68 un sous-genre florissant dans le cinéma populaire italien, synchrone avec les mouvements gauchistes. En 1971, Leone s’inscrit contre cette tendance. Anarchisant, il exprime les déceptions de sa jeunesse socialiste, son scepticisme devant les idéologies. Son film démontre que toute révolution est une révolution trahie et que révolution égale confusion. »
Olivier Père, Les Inrockuptibles
Séances
Jeudi 3 juin à 20h30
Vendredi 4 juin à 17h
Samedi 5 juin à 17h
Dimanche 6 juin à 15h30
Mardi 8 juin à 15h
Vendredi 4 juin à 17h
Samedi 5 juin à 17h
Dimanche 6 juin à 15h30
Mardi 8 juin à 15h