PROGRAMMATION MARS 2009
GB / Irlande, 2005, 1h34, VOSTF, int -12 ans
Avec Essie Davis, Sean Harris, Marcel Iures, John Lynch, Ruth Negga
Avec Essie Davis, Sean Harris, Marcel Iures, John Lynch, Ruth Negga
Dan Reilly a tout fait pour sauver sa modeste exploitation agricole. À deux doigts de la faillite, il accepte de soumettre son bétail à des “tests de fécondation” menés par un laboratoire de biotechnologie sous le contrôle de la vétérinaire locale Orla, son ex-compagne. À l’occasion d’un examen de routine, Orla découvre de troublantes anomalies dans le processus et alerte son patron, John. Mais il est déjà trop tard : une terrifiante mutation est en train de s’accomplir et, en l’espace de quelques heures, la situation va virer au cauchemar…
« Ce cocktail inédit, qui brasse Loach et Carpenter, accouche de monstres ectoplasmiques, informes, pas présentables, que n'importe quel film hollywoodien laisserait à la porte. »
Stéphane Delorme, Cahiers du Cinéma
« Tendu autour d'un suspense simple, construit sur une habile montée de la terreur, "Isolation" tire ses qualités anxiogènes de la conscience qu'au cinéma, l'étrangeté repose souvent sur la banalité. »
Jean-François Rauger, Le Monde
« Il ne faut pas plus de quelques minutes à Isolation pour mettre en place ses intrigues et instaurer une tension terrible, électrique alors même qu’à l’écran ne se trame rien de plus effrayant. (...) une mise en scène viscérale et remarquablement soignée (...) »
Julien Gester, Les Inrockuptibles
« A l'opposé de l'efficacité made in Hollywood où des bimbos bourrées à la bière se font trucider les unes après les autres dans un déferlement comico-gore, ce thriller écolo et british mise sur la sobriété des effets spéciaux et évite toute forme de gaudriole, sans pour autant se prendre au sérieux. L'ambiance (nocturne, pluvieuse, voire boueuse) est glauquissime de bout en bout. Pour plomber un peu plus le moral et accroître le sentiment d'oppression, le décor de la ferme décrépite, crasseux mais parfaitement réaliste, est exploré par une caméra placée dans des angles inattendus (au ras du sol, derrière une barrière...). Malgré une fin plus convenue, genre « Alien à la ferme », ce film révèle en Billy O'Brien un incontestable talent à suivre. »
Jérémie Couston, Télérama
« (...) une nouvelle petite réussite qui incite à croire que le cinéma d'horreur britannique est en train de renaître de ses cendres et d'apporter un sang nouveau à un genre perclus par les effets spéciaux.»
Vincent Ostria, L’Humanité
« Ce cocktail inédit, qui brasse Loach et Carpenter, accouche de monstres ectoplasmiques, informes, pas présentables, que n'importe quel film hollywoodien laisserait à la porte. »
Stéphane Delorme, Cahiers du Cinéma
« Tendu autour d'un suspense simple, construit sur une habile montée de la terreur, "Isolation" tire ses qualités anxiogènes de la conscience qu'au cinéma, l'étrangeté repose souvent sur la banalité. »
Jean-François Rauger, Le Monde
« Il ne faut pas plus de quelques minutes à Isolation pour mettre en place ses intrigues et instaurer une tension terrible, électrique alors même qu’à l’écran ne se trame rien de plus effrayant. (...) une mise en scène viscérale et remarquablement soignée (...) »
Julien Gester, Les Inrockuptibles
« A l'opposé de l'efficacité made in Hollywood où des bimbos bourrées à la bière se font trucider les unes après les autres dans un déferlement comico-gore, ce thriller écolo et british mise sur la sobriété des effets spéciaux et évite toute forme de gaudriole, sans pour autant se prendre au sérieux. L'ambiance (nocturne, pluvieuse, voire boueuse) est glauquissime de bout en bout. Pour plomber un peu plus le moral et accroître le sentiment d'oppression, le décor de la ferme décrépite, crasseux mais parfaitement réaliste, est exploré par une caméra placée dans des angles inattendus (au ras du sol, derrière une barrière...). Malgré une fin plus convenue, genre « Alien à la ferme », ce film révèle en Billy O'Brien un incontestable talent à suivre. »
Jérémie Couston, Télérama
« (...) une nouvelle petite réussite qui incite à croire que le cinéma d'horreur britannique est en train de renaître de ses cendres et d'apporter un sang nouveau à un genre perclus par les effets spéciaux.»
Vincent Ostria, L’Humanité
SEANCES
Mercredi 11 mars à 18h30
Samedi 14 mars à 21h
Lundi 16 mars à 20h30
Samedi 14 mars à 21h
Lundi 16 mars à 20h30