PROGRAMMATION SEPTEMBRE 2005
USA, 1936, 1h35 VOSTF
avec Warner Baxter, Gloria Stuart, Francis Mc Donald, John Carradine, Ernest Whitman
avec Warner Baxter, Gloria Stuart, Francis Mc Donald, John Carradine, Ernest Whitman
John Wilkes, fanatique assassin du président Abraham Lincoln, se casse une jambe au cours de sa fuite. Il est soigné par le docteur Samuel Mudd. Arrêté et accusé de complicité, le docteur est condamné à la détention à perpétuité dans la prison de Shark Island, où il subit les brimades et la haine des gardiens, notamment du sadique sergent Rankin.
« Je n'ai pas tué Lincoln, en 1936, sera l'occasion des premiers véritables affrontements entre Ford et son producteur. Une hétérogénéité des styles (post-expressionnisme, roman feuilleton, drame historique) s'y affirme et s'y conjugue avec une analyse fine de la transformation des rapports humains qu'ont introduite les conséquences de la guerre de Sécession. »
Jean-François Rauger, Le Monde
« Centré sur l’histoire tragique du docteur Mudd (qui commit l’erreur de soigner le meurtrier de Lincoln et fut condamné au bagne puis gracié et réhabilité), Je n’ai pas tué Lincoln est un grand film méconnu de John Ford. Celui-ci par des séquences qui recherchent l’authenticité documentaire et un art de la composition et de l’éclairage, évoque avec une force dramatique impressionnante cette tragédie de l ‘humilité et de la vocation. »
Gérard Camy, Télérama.
« Je n'ai pas tué Lincoln, en 1936, sera l'occasion des premiers véritables affrontements entre Ford et son producteur. Une hétérogénéité des styles (post-expressionnisme, roman feuilleton, drame historique) s'y affirme et s'y conjugue avec une analyse fine de la transformation des rapports humains qu'ont introduite les conséquences de la guerre de Sécession. »
Jean-François Rauger, Le Monde
« Centré sur l’histoire tragique du docteur Mudd (qui commit l’erreur de soigner le meurtrier de Lincoln et fut condamné au bagne puis gracié et réhabilité), Je n’ai pas tué Lincoln est un grand film méconnu de John Ford. Celui-ci par des séquences qui recherchent l’authenticité documentaire et un art de la composition et de l’éclairage, évoque avec une force dramatique impressionnante cette tragédie de l ‘humilité et de la vocation. »
Gérard Camy, Télérama.
SEANCES
jeudi 8 septembre à 18h30
vendredi 9 septembre à 21h
samedi 10 septembre à 16h30
dimanche 11 septembre à 18h30
jeudi 15 septembre à 20h30
samedi 17 septembre à 20h30
vendredi 9 septembre à 21h
samedi 10 septembre à 16h30
dimanche 11 septembre à 18h30
jeudi 15 septembre à 20h30
samedi 17 septembre à 20h30