PROGRAMMATION DÉCEMBRE 2010
Taïwan, 2009, 1h32, VOSTF
Avec Yo Hsuan Chao, Chen Wen-pin, Chih-Ju Lin
Avec Yo Hsuan Chao, Chen Wen-pin, Chih-Ju Lin
Wu-Hsiung vit avec sa fille de sept ans sur les docks du port de Kaohsiung, à Taïwan. Pour survivre il plonge en apnée pour un patron pêcheur peu scrupuleux. Malgré sa condition de misère, il construit avec sa fille une relation très forte et quand il doit se battre contre les services sociaux pour la garder, sa vie bascule... Nourri d’un fait-divers singulier, Leon Dai signe un film d’un ton néoraliste subtil et touchant.
« Comédien de formation, démontrant un solide sens de la prise de vue, Leon Dai s'est fait remarquer depuis quelques années par des films consacrés aux injustices sociales qui frappent les petites gens. Il signe lui-même le montage de ces fresques modestes qui évitent le chantage à l'émotion, se rattachent à cette "Nouvelle Vague" taïwanaise, où se révéla Hou Hsiao-hsien. La force de Je ne peux pas vivre sans toi réside dans sa veine discrètement néoréaliste, un ton qui n'est pas sans rappeler les films du Philippin Lino Brocka. »
Jean-Luc Douin, Le Monde
« Une œuvre parfois presque drolatique, en tout cas à la frange du burlesque triste du cinéma muet (on pense à Chaplin), et tragique, où le réalisme du décor (les docks, entrepôts, ateliers de mécanique) n’a d’égal que le discours antibureaucratique. Touchant. »
Vincent Ostria, L’Humanité
« Comédien de formation, démontrant un solide sens de la prise de vue, Leon Dai s'est fait remarquer depuis quelques années par des films consacrés aux injustices sociales qui frappent les petites gens. Il signe lui-même le montage de ces fresques modestes qui évitent le chantage à l'émotion, se rattachent à cette "Nouvelle Vague" taïwanaise, où se révéla Hou Hsiao-hsien. La force de Je ne peux pas vivre sans toi réside dans sa veine discrètement néoréaliste, un ton qui n'est pas sans rappeler les films du Philippin Lino Brocka. »
Jean-Luc Douin, Le Monde
« Une œuvre parfois presque drolatique, en tout cas à la frange du burlesque triste du cinéma muet (on pense à Chaplin), et tragique, où le réalisme du décor (les docks, entrepôts, ateliers de mécanique) n’a d’égal que le discours antibureaucratique. Touchant. »
Vincent Ostria, L’Humanité
Séances
mercredi 1er décembre à 18h30
dimanche 5 décembre à 18h30
mercredi 8 décembre à 20h45
dimanche 12 décembre à 14h30
SORTIE NATIONALE
dimanche 5 décembre à 18h30
mercredi 8 décembre à 20h45
dimanche 12 décembre à 14h30
SORTIE NATIONALE