NANTES UNIVERSITÉ • PAROLES AUTOCHTONES • MARS 2024
JE M'APPELLE HUMAIN
À Nantes, du 14 au 16 mars 2024, l’espace Cosmopolis et le Cinématographe accueillent la manifestation "Paroles autochtones. Histoire, littératures et cinéma autochtones du Canada francophone".
"Cet événement met à l’honneur pendant trois jours la scène littéraire et artistique autochtone contemporaine. Une scène qui témoigne du déploiement de productions qu’on pouvait encore, il y a peu, appeler "émergentes" ou "minoritaires". Né de la volonté des écrivain·es et des artistes autochtones de se réapproprier des espaces de discours et d’action dont l’accès leur a longtemps été interdit par les institutions, ce dynamisme créatif est indissociable d’une réflexion éthique et politique sur les pouvoirs qu’ont la littérature et l’art d’écrire l’Histoire et, peut-être, de réparer les béances coloniales. En effet, qu’ils et elles écrivent dans leur langue vernaculaire ou en français, qu’ils et elles inscrivent leurs œuvres dans un prisme plus ou moins politique, écrivain·es et artistes autochtones interrogent les contours d’une "identité" par définition irréductible : notion mouvante, instable, difficilement circonscrite et de fait, impossible à définir, mais néanmoins omniprésente." - Cécile Brochard (maître de conférences en littératures comparées, LAMO) et Yann Lignereux (professeur d’histoire moderne, CRHIA)
Je m’appelle humain de Kim O’Bomsawin, précédé de 6mn/km de Catherine Boivin
NUM
- - jeudi 14/03 20:30
> projection suivie d'un échange en présence de Catherine Boivin
Le Dep de Sonia Bonspille-Boileau, précédé de 6mn/km de Catherine Boivin
NUM
- - vendredi 15/03 20:30
> projection suivie d'un échange en présence de Catherine Boivin
"Cet événement met à l’honneur pendant trois jours la scène littéraire et artistique autochtone contemporaine. Une scène qui témoigne du déploiement de productions qu’on pouvait encore, il y a peu, appeler "émergentes" ou "minoritaires". Né de la volonté des écrivain·es et des artistes autochtones de se réapproprier des espaces de discours et d’action dont l’accès leur a longtemps été interdit par les institutions, ce dynamisme créatif est indissociable d’une réflexion éthique et politique sur les pouvoirs qu’ont la littérature et l’art d’écrire l’Histoire et, peut-être, de réparer les béances coloniales. En effet, qu’ils et elles écrivent dans leur langue vernaculaire ou en français, qu’ils et elles inscrivent leurs œuvres dans un prisme plus ou moins politique, écrivain·es et artistes autochtones interrogent les contours d’une "identité" par définition irréductible : notion mouvante, instable, difficilement circonscrite et de fait, impossible à définir, mais néanmoins omniprésente." - Cécile Brochard (maître de conférences en littératures comparées, LAMO) et Yann Lignereux (professeur d’histoire moderne, CRHIA)
Je m’appelle humain de Kim O’Bomsawin, précédé de 6mn/km de Catherine Boivin
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- - jeudi 14/03 20:30
> projection suivie d'un échange en présence de Catherine Boivin
Le Dep de Sonia Bonspille-Boileau, précédé de 6mn/km de Catherine Boivin
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- - vendredi 15/03 20:30
> projection suivie d'un échange en présence de Catherine Boivin