PROGRAMMATION FÉVRIER 2010
GB, 1969, 1h50, VOSTF
Avec David Bradley, Colin Welland, Freddie Fletcher
RÉÉDITION
Avec David Bradley, Colin Welland, Freddie Fletcher
RÉÉDITION
Billy ,12 ans, vît dans une petite ville minière Anglaise. Il ne supporte plus son univers :sa mère l'ignore, son frère le traite en souffre-douleur et à l'école, distrait et indiscipliné, ses camarades et professeurs lui sont hostiles. Un jour, il trouve un jeune rapace et décide de dresser l'oiseau... Dès son deuxième film, Ken Loach trouve son style percutant et livre une émouvante chronique de l’adolescence.
« Loin de tout message, de tout didactisme, KES n’en est pas moins un constat sévère sur la faillite d’un système d’éducation, sur l’indifférence des adultes, sur plus de dix ans de captivité d’un enfant qui retrouve dans le faucon adopté, un compagnon de liberté. D’un sujet qui se prêtait au sentimentalisme, Ken Loach a fait un film d’une grande maturité où se trouve mise à nu toute une société emprisonnée dans ses cadres, ses préjugés, sa routine...Obtenant de ses acteurs des résultats de vie et de décontraction, servi par une admirable photographie de Chris Menges, il réussit toujours à retrouver, sur un terrain de football, dans une salle de classe ou dans la rue, ce mélange d’humour et de gravité profonde qui donne à son film un charme très fort. »
Positif
« C’est du Truffaut à lapuissance 2.Avec ses armes, sa pudeur, sa sensibilité, sa lucidité et son sens de l’enfance, Ken Loachva plus loin que Truffaut dans l’analyse perspicace d’une société, des liens de famille, d’un système d’éducation, d’une organisation professionnelle, d’une province.C’est admirable de la première image à la dernière. »
Le Nouvel Observateur
« Loin de tout message, de tout didactisme, KES n’en est pas moins un constat sévère sur la faillite d’un système d’éducation, sur l’indifférence des adultes, sur plus de dix ans de captivité d’un enfant qui retrouve dans le faucon adopté, un compagnon de liberté. D’un sujet qui se prêtait au sentimentalisme, Ken Loach a fait un film d’une grande maturité où se trouve mise à nu toute une société emprisonnée dans ses cadres, ses préjugés, sa routine...Obtenant de ses acteurs des résultats de vie et de décontraction, servi par une admirable photographie de Chris Menges, il réussit toujours à retrouver, sur un terrain de football, dans une salle de classe ou dans la rue, ce mélange d’humour et de gravité profonde qui donne à son film un charme très fort. »
Positif
« C’est du Truffaut à lapuissance 2.Avec ses armes, sa pudeur, sa sensibilité, sa lucidité et son sens de l’enfance, Ken Loachva plus loin que Truffaut dans l’analyse perspicace d’une société, des liens de famille, d’un système d’éducation, d’une organisation professionnelle, d’une province.C’est admirable de la première image à la dernière. »
Le Nouvel Observateur
SEANCES
Mercredi 17 février à 18h30
Samedi 20 février à 19h
Jeudi 25 février à 14h30
Dimanche 28 février à 18h30
Samedi 20 février à 19h
Jeudi 25 février à 14h30
Dimanche 28 février à 18h30