PROGRAMMATION OCTOBRE 2008
France, 1984, 1h32
Avec Sabine Azéma, Fanny Ardant, Pierre Arditi, André Dussollier, Jean Dasté
Avec Sabine Azéma, Fanny Ardant, Pierre Arditi, André Dussollier, Jean Dasté
Archéologue dans le Gard, Simon vit depuis quelques mois un amour passionné avec Elisabeth. Un soir, dans leur maison près d'Uzès, il s'effondre, avec une violente douleur dans la poitrine ; le médecin arrive et ne peut que constater la mort... Quelques instants après le départ du docteur, Simon réapparaît devant Elisabeth... A travers cette histoire, Resnais aborde à nouveau les liens étroits et ambigus entre l’amour et la mort, le plaisir et la douleur, la passion et la solitude.
« Le dépouillement, la pureté des décors et de l’histoire rappellent le genre de la tragédie grecque. Le thème aussi... Alain Resnais explicite le titre de son film ainsi : « L’amour jusqu’à la mort, l’amour est plus fort que la mort ou l’amour est si fort qu’il peut seul conduire à la mort ». En intégrant des plages musicales non-figuratives dans le film, Alain Resnais place la musique comme le « cinquième personnage du film ». Il fait appel au compositeur Henze, l’un des compositeurs les plus célèbres de la musique contemporaine, avec un langage musical qui se situe dans la lignée du sérialisme lyrique d’Alban Berg et Karl Amadeus Hartmann. « Il y a eu d’abord cette idée : peut-on construire un film en ne mettant jamais la musique comme accompagnement, ou sous les comédiens, mais en l’utilisant à nu, et de manière qu’elle poursuive l’histoire, prenne le relais des comédiens et du dialogue ? »
Alain Resnais, http://www.premiersplans.org
« Le dépouillement, la pureté des décors et de l’histoire rappellent le genre de la tragédie grecque. Le thème aussi... Alain Resnais explicite le titre de son film ainsi : « L’amour jusqu’à la mort, l’amour est plus fort que la mort ou l’amour est si fort qu’il peut seul conduire à la mort ». En intégrant des plages musicales non-figuratives dans le film, Alain Resnais place la musique comme le « cinquième personnage du film ». Il fait appel au compositeur Henze, l’un des compositeurs les plus célèbres de la musique contemporaine, avec un langage musical qui se situe dans la lignée du sérialisme lyrique d’Alban Berg et Karl Amadeus Hartmann. « Il y a eu d’abord cette idée : peut-on construire un film en ne mettant jamais la musique comme accompagnement, ou sous les comédiens, mais en l’utilisant à nu, et de manière qu’elle poursuive l’histoire, prenne le relais des comédiens et du dialogue ? »
Alain Resnais, http://www.premiersplans.org
SEANCES
Mercredi 8 octobre à 18h30
Jeudi 9 octobre à 21h
Samedi 11 octobre à 16h30
Dimanche 12 octobre à 20h30
Jeudi 9 octobre à 21h
Samedi 11 octobre à 16h30
Dimanche 12 octobre à 20h30