PROGRAMMATION OCTOBRE 2008
France/Italie, 1961, 1h33
Avec Giorgio Albertazzi, Delphine Seyrig, Sacha Pitöeff
Avec Giorgio Albertazzi, Delphine Seyrig, Sacha Pitöeff
Dans un palace de ville d'eau allemande, au cours d'une soirée théâtrale, un homme rencontre une femme et s'efforce de la faire se souvenir - ou - de la persuader qu'un an auparavant, à Marienbad, elle lui a promis de partir avec lui.
L'année dernière à Marienbad est totalement onirique. C'est une comédie musicale, sans chanson, qui tente d'approfondir les forces du rêve.
« Je suis parti de cette idée : une forme d’itinéraire qui pouvait aussi être une forme d’écriture, un labyrinthe c’est-à-dire un chemin qui a toujours l’air guidé par des parois strictes, mais qui néanmoins à chaque instant conduit à des impasses et oblige à revenir en arrière, à repasser plusieurs fois aux mêmes endroits sur des parcours plus ou moins longs, à explorer une nouvelle direction et à retomber sur une nouvelle impossibilité ».
Alain Resnais
« Les travellings ont la douceur d’une caresse ; le dialogue leitmotiv se fait musical. Dans cet univers où les êtres et les choses semblent confondus dans une même langueur, quelque chose frémit, s’incarne, brûle. C’est l’amour, l’amour fou, retenu, désiré, refusé puis accepté.
Pour ceux qui acceptent d’entrer dans cette lumineuse forêt vierge de marbre et de miroirs, le château de Marienbad devient voluptueux dédale et les tourments de ses invités pure féerie mentale »
Bernard Génin, Télérama
L'année dernière à Marienbad est totalement onirique. C'est une comédie musicale, sans chanson, qui tente d'approfondir les forces du rêve.
« Je suis parti de cette idée : une forme d’itinéraire qui pouvait aussi être une forme d’écriture, un labyrinthe c’est-à-dire un chemin qui a toujours l’air guidé par des parois strictes, mais qui néanmoins à chaque instant conduit à des impasses et oblige à revenir en arrière, à repasser plusieurs fois aux mêmes endroits sur des parcours plus ou moins longs, à explorer une nouvelle direction et à retomber sur une nouvelle impossibilité ».
Alain Resnais
« Les travellings ont la douceur d’une caresse ; le dialogue leitmotiv se fait musical. Dans cet univers où les êtres et les choses semblent confondus dans une même langueur, quelque chose frémit, s’incarne, brûle. C’est l’amour, l’amour fou, retenu, désiré, refusé puis accepté.
Pour ceux qui acceptent d’entrer dans cette lumineuse forêt vierge de marbre et de miroirs, le château de Marienbad devient voluptueux dédale et les tourments de ses invités pure féerie mentale »
Bernard Génin, Télérama
SEANCES
Jeudi 30 octobre à 21h
Vendredi 31 octobre à 18h30
Samedi 1er novembre à 17h
Dimanche 2 novembre à 20h30
Mardi 4 novembre à 21h
Vendredi 31 octobre à 18h30
Samedi 1er novembre à 17h
Dimanche 2 novembre à 20h30
Mardi 4 novembre à 21h