CARTE BLANCHE CATHERINE CAVELIER • OCTOBRE 2014
France, 1978, 1h53
avec Nathalie Nell, Alain Fourès, Michèle Simonnet, Pierre Arditi, Daniel Auteuil
avec Nathalie Nell, Alain Fourès, Michèle Simonnet, Pierre Arditi, Daniel Auteuil
Nicole est infirmière. Tout va bien, jusqu’au triste soir où elle est abordée, brutalisée et violée par quatre individus. Ce qui frappe dans le destin cinématographique de Yannick Bellon, c’est sa ténacité à réaliser les oeuvres qui lui importent sans tenir compte des critères commerciaux. Elle réalise ce film sans aucune aide (à cause du sujet certainement). Elle est à Nantes en 1997 au 14ème festival de films de femmes.
Séances
Jeudi16/10 18:30
Mardi 28/10 20:30
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Yannick Bellon
Hommage à Yannick Bellon en 1997 au 14ème festival Films de Femmes de Nantes en sa présence.
Entre une mère photographe et reporter, amie des surréalistes, Denis Bellon ; un père magistrat, amateur de littérature, Jacques Bellon et un oncle surréaliste, acteur cinéaste et critique de cinéma, Jacques Bernard Brunius, Yannick Bellon a été dès l’enfance à bonne école, tout comme sa sœur Loleh comédienne et auteur dramatique. Elle réalise son premier long métrage de fiction en 1971 et ne trouvant pas de financement elle crée sa propre maison de production.
De film en film, on a vu Yannick Bellon construire une œuvre, diverse comme la vie. Elle fera brûler la violence et la cruauté dans la scène centrale de L’Amour violé. Elle exprimera le courage et la compassion dans L’Amour nu. Elle fera entrevoir les arrière-plans et le trouble d’une vie dans La Triche. Elle sera attentive aux crises et aux angoisses des jeunes dans Les Enfants du désordre. Elle écoutera le froissement des taillis et le frisson des forêts dans L’Affût
Claude Roy – 1997 Calatogue 14ème Festival de Films de Femmes
Yannick a l’âme pure son regard est attentif, il voit au-delà. Un jour j’ai eu la chance qu’elle le porte sur moi. Voilà pourquoi, sans doute aujourd’hui, je fais toujours ce métier.
Emmanuelle Béart – 1997 Calatogue 14ème Festival de Films de Femmes
Yannick Bellon appartient à cette espèce rare en voie de disparition : les « auteurs-réalisateurs – producteurs ». Espèce qu’il faut protéger, défendre, aimer par dessus tout. Sous son air sage et secret, elle cache une vaillance, une ardeur et un courage formidables. Quand nous nous sommes rencontrées, pour l’Affût, j’étais enceinte de ma première fille. Elle m’a attendue..... Je ne l’oublierai jamais. Puis elle a filmé le pays de mon enfance, la Dombes, avec un lyrisme et une posée magnifique. Cela aussi, je ne l’oublierai jamais.
Dominique Blanc – 1997 Calatogue 14ème Festival de Films de Femmes
Mardi 28/10 20:30
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Yannick Bellon
Hommage à Yannick Bellon en 1997 au 14ème festival Films de Femmes de Nantes en sa présence.
Entre une mère photographe et reporter, amie des surréalistes, Denis Bellon ; un père magistrat, amateur de littérature, Jacques Bellon et un oncle surréaliste, acteur cinéaste et critique de cinéma, Jacques Bernard Brunius, Yannick Bellon a été dès l’enfance à bonne école, tout comme sa sœur Loleh comédienne et auteur dramatique. Elle réalise son premier long métrage de fiction en 1971 et ne trouvant pas de financement elle crée sa propre maison de production.
De film en film, on a vu Yannick Bellon construire une œuvre, diverse comme la vie. Elle fera brûler la violence et la cruauté dans la scène centrale de L’Amour violé. Elle exprimera le courage et la compassion dans L’Amour nu. Elle fera entrevoir les arrière-plans et le trouble d’une vie dans La Triche. Elle sera attentive aux crises et aux angoisses des jeunes dans Les Enfants du désordre. Elle écoutera le froissement des taillis et le frisson des forêts dans L’Affût
Claude Roy – 1997 Calatogue 14ème Festival de Films de Femmes
Yannick a l’âme pure son regard est attentif, il voit au-delà. Un jour j’ai eu la chance qu’elle le porte sur moi. Voilà pourquoi, sans doute aujourd’hui, je fais toujours ce métier.
Emmanuelle Béart – 1997 Calatogue 14ème Festival de Films de Femmes
Yannick Bellon appartient à cette espèce rare en voie de disparition : les « auteurs-réalisateurs – producteurs ». Espèce qu’il faut protéger, défendre, aimer par dessus tout. Sous son air sage et secret, elle cache une vaillance, une ardeur et un courage formidables. Quand nous nous sommes rencontrées, pour l’Affût, j’étais enceinte de ma première fille. Elle m’a attendue..... Je ne l’oublierai jamais. Puis elle a filmé le pays de mon enfance, la Dombes, avec un lyrisme et une posée magnifique. Cela aussi, je ne l’oublierai jamais.
Dominique Blanc – 1997 Calatogue 14ème Festival de Films de Femmes