PROGRAMMATION MARS 2010
Chine, 1999, 2h43, VOSTF
Avec Gong Li, Li Xuejian, Zhang Fengyi
Avec Gong Li, Li Xuejian, Zhang Fengyi
Au IIIe siècle avant Jésus-Christ, le roi de Qin est obsédé par l'idée de réunir les sept royaumes de Chine en un seul et immense empire dont il prendrait la tête, devenant le premier empereur de Chine. Il promet à dame Zhao, son amour d'enfance, qu'il accomplira cette destinée sans violence ni tueries. Pour asseoir le pouvoir de son amant, elle lui propose de fomenter un faux complot d'assassinat contre lui, lequel, une fois découvert, légitimerait l'invasion du royaume voisin. Mais le roi de Qin rompt sa promesse...
« Sombre méditation sur l'histoire : sa nécessité, son entreprise séculaire, sa souveraineté, on en a vu le prix, dans cette épopée sauvage. Après tout, il ne s'agit de rien de moins que de la fondation de la Chine: sans renoncer à son patriotisme, le cinéaste en a peint toute l'horreur. »
Alain Masson, Positif
« Coproduction sino-franco-japonaise, superproduction qui a fait exploser tous les chiffres au cinéma chinois (coûts, figuration, temps de tournage, décors, devenus depuis des sites touristiques très visités), le film ressemble à son titre: Chen Kaige ambitionne d'être l'empereur du cinéma chinois tout en étant déjà, son film le prouve, son propre assassin. »
Charles Tesson, Les Cahiers du cinéma
« Reste le plus réussi, le théâtre de cour, ses intrigues, tout ce qui se joue autour du personnage du roi Qin ( Li Xuejian, excellent) et de son entourage, essentiellement masculin, versant shakespearien sur lequel Kaige rejoint le monde de Kurosawa. »
Charles Tesson, Les Cahiers du cinéma
« Sombre méditation sur l'histoire : sa nécessité, son entreprise séculaire, sa souveraineté, on en a vu le prix, dans cette épopée sauvage. Après tout, il ne s'agit de rien de moins que de la fondation de la Chine: sans renoncer à son patriotisme, le cinéaste en a peint toute l'horreur. »
Alain Masson, Positif
« Coproduction sino-franco-japonaise, superproduction qui a fait exploser tous les chiffres au cinéma chinois (coûts, figuration, temps de tournage, décors, devenus depuis des sites touristiques très visités), le film ressemble à son titre: Chen Kaige ambitionne d'être l'empereur du cinéma chinois tout en étant déjà, son film le prouve, son propre assassin. »
Charles Tesson, Les Cahiers du cinéma
« Reste le plus réussi, le théâtre de cour, ses intrigues, tout ce qui se joue autour du personnage du roi Qin ( Li Xuejian, excellent) et de son entourage, essentiellement masculin, versant shakespearien sur lequel Kaige rejoint le monde de Kurosawa. »
Charles Tesson, Les Cahiers du cinéma
SEANCE UNIQUE
Samedi 6 mars à 21h
