PROGRAMMATION AVRIL 2009
USA, 1933, 1h12, VOSTF
Avec Claude Rains, Una O'Connor
Avec Claude Rains, Una O'Connor
Jack Griffin, un scientifique, a trouvé le moyen de devenir invisible. Soucieux de trouver la formule qui lui permettra un retour à la normale avant d'annoncer sa découverte, il s'enroule le visage de bandeaux et se retire dans l'auberge d'un village isolé. Son aspect étrange ainsi que son comportement attirent la curiosité des gens et l'empêchent de travailler. Agacé, Griffin cherche à effrayer les villageois et se sert de son pouvoir à des fins de plus en plus malintentionnées…
« Un sommet inégalé du fantastique années 30. »
Julien Gester, Les Inrockuptibles
« Cette adaptation du roman d'H.G. Wells reste à ce jour la plus brillante de toutes grâce à de remarquables effets spéciaux et à une belle ambiguïté des personnages. Troublant. »
Virgile Dumez, aVoir-aLire.com
« James Whale, déjà célèbre pour son Frankenstein (1931), réalise à nouveau une oeuvre marquante du cinéma d'horreur. Le scénario, limpide et sans faille, fidèle à l'univers scientifique et à l'atmosphère fantastique du roman de Wells, ménage un suspense efficace. La succession impressionnante des séquences d'action et la poésie pathétique, un brin naïve, qui se dégage de certaines scènes servent à merveille l'itinéraire « initiatique » de ce paranoïaque invisible, plus malheureux que méchant. Derrière le noir et blanc somptueux qui enveloppe chaque plan, le célèbre John P. Fulton propose des effets spéciaux extraordinaires. Aujourd'hui encore, il n'a vraiment pas à rougir d'une quelconque comparaison avec les trucages numériques. »
Gérard Camy, Télérama
« Poursuivant sa galerie de monstres ambigus mis en butte à une société abrutie de bêtise et de terreur, Whale livre avec L’Homme invisible une œuvre fantastique aux effets visuels aujourd’hui encore étourdissants de maîtrise et d’audace. »
Vincent Avenel, « Miroir, mon beau miroir... »,
« Un sommet inégalé du fantastique années 30. »
Julien Gester, Les Inrockuptibles
« Cette adaptation du roman d'H.G. Wells reste à ce jour la plus brillante de toutes grâce à de remarquables effets spéciaux et à une belle ambiguïté des personnages. Troublant. »
Virgile Dumez, aVoir-aLire.com
« James Whale, déjà célèbre pour son Frankenstein (1931), réalise à nouveau une oeuvre marquante du cinéma d'horreur. Le scénario, limpide et sans faille, fidèle à l'univers scientifique et à l'atmosphère fantastique du roman de Wells, ménage un suspense efficace. La succession impressionnante des séquences d'action et la poésie pathétique, un brin naïve, qui se dégage de certaines scènes servent à merveille l'itinéraire « initiatique » de ce paranoïaque invisible, plus malheureux que méchant. Derrière le noir et blanc somptueux qui enveloppe chaque plan, le célèbre John P. Fulton propose des effets spéciaux extraordinaires. Aujourd'hui encore, il n'a vraiment pas à rougir d'une quelconque comparaison avec les trucages numériques. »
Gérard Camy, Télérama
« Poursuivant sa galerie de monstres ambigus mis en butte à une société abrutie de bêtise et de terreur, Whale livre avec L’Homme invisible une œuvre fantastique aux effets visuels aujourd’hui encore étourdissants de maîtrise et d’audace. »
Vincent Avenel, « Miroir, mon beau miroir... »,
SEANCES
Vendredi 10 avril à 18h30
Samedi 11 avril à 21h
Jeudi 16 avril à 20h30
Samedi 18 avril à 17h
Samedi 11 avril à 21h
Jeudi 16 avril à 20h30
Samedi 18 avril à 17h