ÉCOLE ET CINÉMA 2020-2021 • CYCLE 3
USA, 1933, 1h12, VOSTF
avec Claude Rains, Gloria Stuart, Henry Travers
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Jack Griffin, un scientifique, a trouvé le moyen de devenir invisible. Soucieux de trouver la formule qui lui permettra un retour à la normale avant d'annoncer sa découverte, il s'enroule le visage de bandeaux et se retire dans l'auberge d'un village isolé.
" Un sommet inégalé du fantastique années 30. "
Julien Gester, Les Inrockuptibles
"James Whale, déjà célèbre pour son Frankenstein (1931), réalise à nouveau une oeuvre marquante du cinéma d'horreur. Le scénario, limpide et sans faille, fidèle à l'univers scientifique et à l'atmosphère fantastique du roman de Wells, ménage un suspense efficace. La succession impressionnante des séquences d'action et la poésie pathétique, un brin naïve, qui se dégage de certaines scènes servent à merveille l'itinéraire "initiatique" de ce paranoïaque invisible, plus malheureux que méchant. Derrière le noir et blanc somptueux qui enveloppe chaque plan, le célèbre John P. Fulton propose des effets spéciaux extraordinaires. Aujourd'hui encore, il n'a vraiment pas à rougir d'une quelconque comparaison avec les trucages numériques."
Gérard Camy, Télérama
"Poursuivant sa galerie de monstres ambigus mis en butte à une société abrutie de bêtise et de terreur, Whale livre avec L’Homme invisible une œuvre fantastique aux effets visuels aujourd’hui encore étourdissants de maîtrise et d’audace."
Vincent Avenel, "Miroir, mon beau miroir..."
" Un sommet inégalé du fantastique années 30. "
Julien Gester, Les Inrockuptibles
"James Whale, déjà célèbre pour son Frankenstein (1931), réalise à nouveau une oeuvre marquante du cinéma d'horreur. Le scénario, limpide et sans faille, fidèle à l'univers scientifique et à l'atmosphère fantastique du roman de Wells, ménage un suspense efficace. La succession impressionnante des séquences d'action et la poésie pathétique, un brin naïve, qui se dégage de certaines scènes servent à merveille l'itinéraire "initiatique" de ce paranoïaque invisible, plus malheureux que méchant. Derrière le noir et blanc somptueux qui enveloppe chaque plan, le célèbre John P. Fulton propose des effets spéciaux extraordinaires. Aujourd'hui encore, il n'a vraiment pas à rougir d'une quelconque comparaison avec les trucages numériques."
Gérard Camy, Télérama
"Poursuivant sa galerie de monstres ambigus mis en butte à une société abrutie de bêtise et de terreur, Whale livre avec L’Homme invisible une œuvre fantastique aux effets visuels aujourd’hui encore étourdissants de maîtrise et d’audace."
Vincent Avenel, "Miroir, mon beau miroir..."