PROGRAMMATION JUIN-JUILLET 2010
USA, 1958, 1h35, VOSTF
Avec Charlton Heston, Janet Leigh, Marlène Dietrich, Orson Welles, Joseph Calleia
Avec Charlton Heston, Janet Leigh, Marlène Dietrich, Orson Welles, Joseph Calleia
Double meurtre dans une ville frontière des Etats-Unis. Deux policiers, dont l'un utilise des méthodes peu orthodoxes, s'affrontent dans leur conception de la justice... Toute la virtuosité d’Orson Welles (le plan séquence d’ouverture, magnifique, est longtemps resté le plus long de l’histoire du cinéma) au service de la quintessence du film noir.
« C’est un film qui nous humilie un peu parce qu’il est celui d’un homme qui pense beaucoup plus vite que nous, beaucoup mieux et qui nous jette à la figure une image merveilleuse alors que nous sommes encore sous l’éblouissement de la précédente. D’où cette rapidité, ce vertige, cette accélération qui nous entraînent vers l’ivresse. »
François Truffaut, 4 juin 1958
« Mêlant les longues prises acrobatiques aux plans courts et aux flashes d’un éclat violent, Welles fait passer à travers tout son film un rythme prodigieux, une sorte de mélodie de la vitesse qui précipite cette aventure vers son dénouement tragique. Tant de sûreté et de force dans l’emploi d’une technique au maniement difficile est celle d’un maître. Sur un petit sujet et dans le genre qu’il est le premier à mépriser, Welles a su néanmoins retrouver la grandeur et nous prouver une fois de plus son génie. »
André Bazin, 15 juin 1958
« Tout n'est que passage : d'un pays à l'autre, du mensonge à la vérité, de la vie à la mort. Mike Vargas, le probe et juste policier mexicain, en lutte contre la drogue, se heurte à Hank Quinlan, le flic véreux. C'est la fin d'un monde que décrit Orson Welles, le pourrissement d'une société. Techniquement, c'est une merveille qui joue sur les plongées et les contre-plongées, les cadrages et les décors insolites. »
Isabelle Danel, Télérama
« ″Épitaphe du film noir″, a dit Schrader, d’un genre né des chocs politiques et sexuels de l’après-guerre. »
Bill Krohn, Les Cahiers du Cinéma
« C’est un film qui nous humilie un peu parce qu’il est celui d’un homme qui pense beaucoup plus vite que nous, beaucoup mieux et qui nous jette à la figure une image merveilleuse alors que nous sommes encore sous l’éblouissement de la précédente. D’où cette rapidité, ce vertige, cette accélération qui nous entraînent vers l’ivresse. »
François Truffaut, 4 juin 1958
« Mêlant les longues prises acrobatiques aux plans courts et aux flashes d’un éclat violent, Welles fait passer à travers tout son film un rythme prodigieux, une sorte de mélodie de la vitesse qui précipite cette aventure vers son dénouement tragique. Tant de sûreté et de force dans l’emploi d’une technique au maniement difficile est celle d’un maître. Sur un petit sujet et dans le genre qu’il est le premier à mépriser, Welles a su néanmoins retrouver la grandeur et nous prouver une fois de plus son génie. »
André Bazin, 15 juin 1958
« Tout n'est que passage : d'un pays à l'autre, du mensonge à la vérité, de la vie à la mort. Mike Vargas, le probe et juste policier mexicain, en lutte contre la drogue, se heurte à Hank Quinlan, le flic véreux. C'est la fin d'un monde que décrit Orson Welles, le pourrissement d'une société. Techniquement, c'est une merveille qui joue sur les plongées et les contre-plongées, les cadrages et les décors insolites. »
Isabelle Danel, Télérama
« ″Épitaphe du film noir″, a dit Schrader, d’un genre né des chocs politiques et sexuels de l’après-guerre. »
Bill Krohn, Les Cahiers du Cinéma
Séances
Vendredi 18 juin à 19h
Dimanche 20 juin à 17h
Vendredi 25 juin à 19h
Samedi 26 juin à 19h
Dimanche 27 juin à 17h
Dimanche 20 juin à 17h
Vendredi 25 juin à 19h
Samedi 26 juin à 19h
Dimanche 27 juin à 17h