PROGRAMMATION NOVEMBRE 2008
Japon, 1962, 1h53, VOSTF
Avec So Yamamura, Mariko Okada, Sumiko Hidaka
Avec So Yamamura, Mariko Okada, Sumiko Hidaka
1945, la défaite est proche. Souffrant d'une pneumonie, Shûsaku Kawamoto suit les conseils d'une femme rencontrée par hasard, et se rend dans un onsen niché dans les montagnes. A l'hôtel d'Akitsu, il rencontre Shinko, une jeune fille vive et joyeuse. Alors que les médecins abandonnent Shûsaku à son sort, Shinko décide de veiller sur lui...
« En lieu et place, Yoshida pose un style visuel somptueux, au cadrage et la photographie remarquables, le tout illustrant un récit qui est, lui, perturbé et subversif. Fascinant mélodrame étonnamment morbide, La Source Thermale d’Akitsu est aussi un puissant et complexe portrait de femme, comme les dessinera dans la suite de sa carrière le réalisateur. »
Vincent Avenel, « Les amants d’Hiroshima », http://www.critikat.com
« (...) d'une beauté plastique saisissante (...). Un festival de couleurs, mais aussi une forte charge sensuelle portée à l'écran par une Mariko Okada éprise de liberté dont le visage mutin se reflète encore et encore dans une valse de miroirs. »
Clémentine Fullias, http://www.avoir-alire.com
« Le rythme du film est calqué sur les saisons qui s'égrènent lentement (...) En proposant des rencontres espacées dans le temps, il [Yoshida] préserve l'alchimie magique de cette rencontre improbable. »
Jean-Sébastien Thirion, Brazil
« (...)Un mélo, cette fois, aux couleurs ocres et aux mouvements de caméra somptueux...(...) On est, alors, dans la lignée d'Ophüls et de Wong Kar-wai. »
Pierre Murat, Télérama
« En lieu et place, Yoshida pose un style visuel somptueux, au cadrage et la photographie remarquables, le tout illustrant un récit qui est, lui, perturbé et subversif. Fascinant mélodrame étonnamment morbide, La Source Thermale d’Akitsu est aussi un puissant et complexe portrait de femme, comme les dessinera dans la suite de sa carrière le réalisateur. »
Vincent Avenel, « Les amants d’Hiroshima », http://www.critikat.com
« (...) d'une beauté plastique saisissante (...). Un festival de couleurs, mais aussi une forte charge sensuelle portée à l'écran par une Mariko Okada éprise de liberté dont le visage mutin se reflète encore et encore dans une valse de miroirs. »
Clémentine Fullias, http://www.avoir-alire.com
« Le rythme du film est calqué sur les saisons qui s'égrènent lentement (...) En proposant des rencontres espacées dans le temps, il [Yoshida] préserve l'alchimie magique de cette rencontre improbable. »
Jean-Sébastien Thirion, Brazil
« (...)Un mélo, cette fois, aux couleurs ocres et aux mouvements de caméra somptueux...(...) On est, alors, dans la lignée d'Ophüls et de Wong Kar-wai. »
Pierre Murat, Télérama
SEANCES
Jeudi 6 novembre à 18h30
Samedi 8 novembre à 16h30
Dimanche 9 novembre à 21h
Mardi 11 novembre à 20h30
Samedi 8 novembre à 16h30
Dimanche 9 novembre à 21h
Mardi 11 novembre à 20h30
