PROGRAMMATION JANVIER 2006
USA - GB, 1969, 2h10, VOSTF
avec Robert Stephens, Colin Blakely, Geneviève Page, Christopher Lee, Tamara Toumanova, Clive Revill, Irene Handl
avec Robert Stephens, Colin Blakely, Geneviève Page, Christopher Lee, Tamara Toumanova, Clive Revill, Irene Handl
Les aventures rocambolesques du détective Sherlock Holmes et de son inséparable Docteur Watson, qui vont devoir porter secours à une veuve suicidaire, débrouiller une affaire ténébreuse, affronter le Monstre du Loch Ness…
« Tel qu’il est, le film est une merveille, osmose parfaite entre le romanesque et l’ironie. Avec le couple étrange formé par un Watson égrillard et un Holmes apeuré par les femmes. Asexué plus qu’homosexuel… Après avoir refusé de faire un enfant à une ballerine vieilissante, Holmes et son cher Watson sont confrontés, en Ecosse, à une rocambolesque aventure où se mêlent une veuve belge, des canaris comme blanchis de terreur, des moines trappistes guettant un mot de passe mystérieux : « Jonas »… Avec son humour bien connu, Wilder résoud le mystère du monstre du Loch Ness. Et avec une tendresse visible, il filme l’admirable séquence où un simple « au revoir », envoyé en morse à l’aide d’une ombrelle, devient, sur la musique de Miklos Rosza, la plus belle des déclarations d’amour. »
Pierre Murat, Télérama
précédé de
« Tel qu’il est, le film est une merveille, osmose parfaite entre le romanesque et l’ironie. Avec le couple étrange formé par un Watson égrillard et un Holmes apeuré par les femmes. Asexué plus qu’homosexuel… Après avoir refusé de faire un enfant à une ballerine vieilissante, Holmes et son cher Watson sont confrontés, en Ecosse, à une rocambolesque aventure où se mêlent une veuve belge, des canaris comme blanchis de terreur, des moines trappistes guettant un mot de passe mystérieux : « Jonas »… Avec son humour bien connu, Wilder résoud le mystère du monstre du Loch Ness. Et avec une tendresse visible, il filme l’admirable séquence où un simple « au revoir », envoyé en morse à l’aide d’une ombrelle, devient, sur la musique de Miklos Rosza, la plus belle des déclarations d’amour. »
Pierre Murat, Télérama
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SURFACING ON THE THAMES
de David Rimmer
Canada, 1970, 9 min, muet
Canada, 1970, 9 min, muet
« Temporairement chaque image du film original est donnée comme une brève pause dans la progression continue des effacements… Il s’agit de la chronologie d’événements se déroulant en temps réel, mais vue, dans ce film, selon une perspective particulière.»
Al Razutis.
«L’ultime film métaphysique. Vraiment l’un des plus grands films constructivistes depuis Wavelength.»
Gene Youngblood.
Al Razutis.
«L’ultime film métaphysique. Vraiment l’un des plus grands films constructivistes depuis Wavelength.»
Gene Youngblood.
SEANCE
jeudi 26 janvier à 18h30