PROGRAMMATION AVRIL 2008
USA, 1942, 1h24, VOSTF
Avec Ray Milland, Marjorie Reynolds, Dan Duryea, Carl Esmond
Avec Ray Milland, Marjorie Reynolds, Dan Duryea, Carl Esmond
Un homme, qui a gagné par erreur un gâteau dans une kermesse, est poursuivi par des tueurs et découvre que l’objet contient des microfilms destinés à des espions nazis... Comme toujours, Fritz Lang joue avec le visible et l’invisible. Le spectateur entre avec le héros dans un univers où il est difficile de distinguer policier et espion allemand, amis et ennemis. Un magnifique film noir.
« Un voyageur, la nuit, sur le quai d’une gare déserte; un mystérieux faux aveugle, un gâteau qui contient des microfilms, un bombardement, une organisation d’espions nazis, une séance de spiritisme interrompu par un assassinat, une valise piégée : tous les ingrédients du film d’espionnage sont réunis dans cette adaptation d’un roman de Graham Greene qu’Alfred Hitchcock aurait très bien pu signer dans la lignée de Correspondance 17. Mais c’est à Fritz Lang que la Paramount proposa ce film en 1943. Il accepta cette commande entre deux films ambitieux Les bourreaux meurent aussiet La femme au portrait, sans mépriser une seconde ce travail, bien au contraire : le moindre détail porte la signature du grand cinéaste des Espionset des Mabuse, au point que l’on se demande si ce noir divertissement n’est pas, finalement, un de ses films formellement les plus aboutis. »
Dominique Rabourdin, Les Nouvelles
« Un voyageur, la nuit, sur le quai d’une gare déserte; un mystérieux faux aveugle, un gâteau qui contient des microfilms, un bombardement, une organisation d’espions nazis, une séance de spiritisme interrompu par un assassinat, une valise piégée : tous les ingrédients du film d’espionnage sont réunis dans cette adaptation d’un roman de Graham Greene qu’Alfred Hitchcock aurait très bien pu signer dans la lignée de Correspondance 17. Mais c’est à Fritz Lang que la Paramount proposa ce film en 1943. Il accepta cette commande entre deux films ambitieux Les bourreaux meurent aussiet La femme au portrait, sans mépriser une seconde ce travail, bien au contraire : le moindre détail porte la signature du grand cinéaste des Espionset des Mabuse, au point que l’on se demande si ce noir divertissement n’est pas, finalement, un de ses films formellement les plus aboutis. »
Dominique Rabourdin, Les Nouvelles
SEANCES
Jeudi 10 avril à 18h30
Samedi 12 avril à 21h
Mardi 15 avril à 20h30
Samedi 12 avril à 21h
Mardi 15 avril à 20h30