PROGRAMMATION JANVIER 2011
France, 2003, 1h58
Avec Sami Bouajila, Jean-Paul Roussillon, Hippolyte Girardot
Avec Sami Bouajila, Jean-Paul Roussillon, Hippolyte Girardot
C'est l'histoire de quelques hommes de pouvoir et de la guerre qu'ils se font. Une histoire de princes d'aujourd'hui, réglant leurs comptes à coups de stocks-exchange, de complots financiers et d'O.P.A. C'est l'histoire d'un fils plongé au cœur d'un combat financier qui oppose deux hommes d'affaires auquel sont aussi mêlés un chambellan, un fou et un manant... Une adaptation très dure et très noire de la pièce d’Edward Bond.
« Extérieurement, c'est donc un triller sur le pouvoir et l'argent. Plus profondement, une méditation sur les passions, les mensonges et les faiblesses des morts-vivants que nous sommes. Une fois encore Arnaud Desplechin pose un regard désolé sur des êtres qui dévorent les autres sans s'apercevoir que c'est eux-mêmes qu'ils tuent. »
Pierre Murat, Télérama
« Léo en jouant dans la compagnie des hommes est un film aussi puissant qu'antipathique, puissant parce que antipathique, où l'on reconnait sans peine l'un des thèmes centraux du cinéma de Desplechin: le ressentiment et la rivalité qui régissent les rapports entre mâles,entre père et fils, entre "amis". Un monde où les femmes ne jouent qu'un rôle secondaire. Même si, car rien n'est simple, la scène la plus bizarre du film - très malaisante- met en scènhe un bébé et une femme.. »
Jean-Baptiste Morain, Les Inrockuptibles
« Extérieurement, c'est donc un triller sur le pouvoir et l'argent. Plus profondement, une méditation sur les passions, les mensonges et les faiblesses des morts-vivants que nous sommes. Une fois encore Arnaud Desplechin pose un regard désolé sur des êtres qui dévorent les autres sans s'apercevoir que c'est eux-mêmes qu'ils tuent. »
Pierre Murat, Télérama
« Léo en jouant dans la compagnie des hommes est un film aussi puissant qu'antipathique, puissant parce que antipathique, où l'on reconnait sans peine l'un des thèmes centraux du cinéma de Desplechin: le ressentiment et la rivalité qui régissent les rapports entre mâles,entre père et fils, entre "amis". Un monde où les femmes ne jouent qu'un rôle secondaire. Même si, car rien n'est simple, la scène la plus bizarre du film - très malaisante- met en scènhe un bébé et une femme.. »
Jean-Baptiste Morain, Les Inrockuptibles
Séances
jeudi 13 janvier à 18h30
samedi 15 janvier à 18h30
lundi 24 janvier à 18h
samedi 15 janvier à 18h30
lundi 24 janvier à 18h