PROGRAMMATION JANVIER 2009
USA, 1949, 1h34, VOSTF
Avec Richard Conte, Valentina Cortese, Lee J. Cobb
Avec Richard Conte, Valentina Cortese, Lee J. Cobb
Décidé à venger la mort de son frère, le vétéran de guerre Nico Garcos prend la route pour en découdre avec Mike Figlia, grossiste de San Francisco à l'origine du décès. Sur son chemin, il fait la connaissance de la belle Rica. Il va alors découvrir, bien malgré lui, les bas-fonds de la cité américaine.
« Après notamment les Démons de la liberté et la Cité sans voiles, c'est le dernier film tourné par Jules Dassin en Amérique avant plusieurs années (considéré comme communiste, il fut forcé de retourner travailler en Europe). Un montage nerveux et une photo expressive de Norbert Brodine, qui saisit sur le vif les routes de l'Ouest ou les Halles de San Francisco, accompagnent le portrait d'un honnête garçon qui devient aussi féroce que l'homme qu'il poursuit de sa haine.. »
Dictionnaire des films (Dir. Bernard Rapp&Jean-Claude Lamy), Editions Larousse
« Jules Dassin (Du Rififi ches les hommes) prête son talentueux regard et son esprit critique pour réaliser cette superbe fresque. Les Bas-Fonds de Frisco décrit remarquablement les halles de San Francisco, démonte le racket des fruits et légumes, et dispense quelques forts beaux moments de cinéma. »
François Guérif, Télérama
« Jules Dassin fait partie de cette génération de réalisateurs, victimes plus ou moins éloignées du maccarthysme, qui plongèrent dans l’anonymat cinéphile le plus complet après avoir vu leur carrière brisée (du moins aux Etats-Unis). Depuis quelques années, ils font l’objet d’heureuses redécouvertes - d’autant plus heureuse dans le cas de Jules Dassin que le cinéaste réussit assez bien le plus souvent à se couler dans le modèle américain des séries B des années 1940, tout en gardant la veine sociale et pessimiste qui fait son univers. »
Ophélie Wiel, « L’enfer est à lui », www.critikat.com
« Après notamment les Démons de la liberté et la Cité sans voiles, c'est le dernier film tourné par Jules Dassin en Amérique avant plusieurs années (considéré comme communiste, il fut forcé de retourner travailler en Europe). Un montage nerveux et une photo expressive de Norbert Brodine, qui saisit sur le vif les routes de l'Ouest ou les Halles de San Francisco, accompagnent le portrait d'un honnête garçon qui devient aussi féroce que l'homme qu'il poursuit de sa haine.. »
Dictionnaire des films (Dir. Bernard Rapp&Jean-Claude Lamy), Editions Larousse
« Jules Dassin (Du Rififi ches les hommes) prête son talentueux regard et son esprit critique pour réaliser cette superbe fresque. Les Bas-Fonds de Frisco décrit remarquablement les halles de San Francisco, démonte le racket des fruits et légumes, et dispense quelques forts beaux moments de cinéma. »
François Guérif, Télérama
« Jules Dassin fait partie de cette génération de réalisateurs, victimes plus ou moins éloignées du maccarthysme, qui plongèrent dans l’anonymat cinéphile le plus complet après avoir vu leur carrière brisée (du moins aux Etats-Unis). Depuis quelques années, ils font l’objet d’heureuses redécouvertes - d’autant plus heureuse dans le cas de Jules Dassin que le cinéaste réussit assez bien le plus souvent à se couler dans le modèle américain des séries B des années 1940, tout en gardant la veine sociale et pessimiste qui fait son univers. »
Ophélie Wiel, « L’enfer est à lui », www.critikat.com
SEANCES
Samedi 3 janvier à 17h
Lundi 5 janvier à 20h30
Lundi 5 janvier à 20h30