PROGRAMMATION SEPTEMBRE 2005
USA, 1964, 2h45, VOSTF
avec Richard Widmark, Caroll Baker, James Stewart, Sal Minneo, Karl Malden
avec Richard Widmark, Caroll Baker, James Stewart, Sal Minneo, Karl Malden
En septembre 1878 dans l’Oklahoma, après avoir été spoliés de leurs terres par les spéculateurs blancs de Washington, les Cheyennes ont été parqués dans une résèrve où ils meurent de faim. Devant l’impuissance des responsables des affaires indiennes et l’indifférence du gouvernement, le vieux chef, Tall Tree, convainc la tribu de regagner Yellowstone, la terre des ancêtres.
« Les Cheyennes, dernier film tourné par le maître à Monument Valley, est en quelque sorte le testament indien de Ford. Cette épopée mélancolique et sublime sur l’errance d’une tribu Cheyenne qui, lassée des fausses promesses du gouvernement américain, fuit sa réserve pour revenir dans sa patrie, vient conclure le cycle des westerns de la mauvaise conscience, inauguré avec la Prisonnière du désert et poursuivi avec les Cavaliers, le Sergent noir et les Deux Cavaliers. Dans un ultime et émouvant hommage rendu à un peuple vaincu et bafoué qui a su rester digne jusque dans sa défaite, le cinéaste tend à l’Amérique et à son histoire le miroir fêlé de ses contradictions, tandis que tombe sur Monument Valley une lumière sépulcrale. »
José Moure, l’Humanité.
« Les Cheyennes, dernier film tourné par le maître à Monument Valley, est en quelque sorte le testament indien de Ford. Cette épopée mélancolique et sublime sur l’errance d’une tribu Cheyenne qui, lassée des fausses promesses du gouvernement américain, fuit sa réserve pour revenir dans sa patrie, vient conclure le cycle des westerns de la mauvaise conscience, inauguré avec la Prisonnière du désert et poursuivi avec les Cavaliers, le Sergent noir et les Deux Cavaliers. Dans un ultime et émouvant hommage rendu à un peuple vaincu et bafoué qui a su rester digne jusque dans sa défaite, le cinéaste tend à l’Amérique et à son histoire le miroir fêlé de ses contradictions, tandis que tombe sur Monument Valley une lumière sépulcrale. »
José Moure, l’Humanité.
SEANCES
mardi 30 août à 20h30
vendredi 2 septembre à 21h
samedi 3 septembre à 16h
dimanche 4 septembre à 20h30
vendredi 2 septembre à 21h
samedi 3 septembre à 16h
dimanche 4 septembre à 20h30