PROGRAMMATION MAI 2007
USA, 1961, 1h42, VOSTF
Avec James Stewart, Richard Widmark, Shirley Jones, Linda Cristal, Andy Devine, John McIntire, Henry Brandon
Avec James Stewart, Richard Widmark, Shirley Jones, Linda Cristal, Andy Devine, John McIntire, Henry Brandon
Le shérif McCabe est porté sur la bouteille et le cigare. Il vit dans le luxe grâce à l’impôt qu’il perçoit sur toutes les transactions effectuées dans son comté. Jusqu’au jour où une troupe de cavaliers, parmi lesquels il reconnaît le lieutenant Jim Gary, débarque en ville. Devant un verre, Gary lui explique qu’il est chargé de le ramener au camp de la cavalerie. D’abord réticent, le fantasque McCabe accepte pourtant de partir. Dès son arrivée, il est enrôlé comme lieutenant afin de négocier avec les Comanches la restitution de prisonniers blancs. Mais la paye est insuffisante à ses yeux. Le camp de la cavalerie est entouré par les caravanes des membres des familles des disparus. Cynique, amer et vénal, McCabe réclame cinq cents dollars pour chaque tête qu’il réussira à sauver.
Cinq ans après La prisonnière du désert, John Ford se ressaisit du thème des pionniers prisonniers des Comanches. Il signe un film étrange et fantaisiste où la mélancolie pénètre le coeur des plus endurcis.
Violent et sombre, Les deux cavaliers est également un film d’une légèreté et d’une fantaisie insolites. Entre marivaudage et scènes d’action, entre burlesque et mélodrame, Ford touche l’émotion et l’esprit, sans jamais tomber dans la mièvrerie. Dans ce western antiraciste et humaniste, où la mélancolie pénètre le coeur des plus endurcis, le grand réalisateur américain exerce son regard à la fois idéaliste et lucide
Cinq ans après La prisonnière du désert, John Ford se ressaisit du thème des pionniers prisonniers des Comanches. Il signe un film étrange et fantaisiste où la mélancolie pénètre le coeur des plus endurcis.
Violent et sombre, Les deux cavaliers est également un film d’une légèreté et d’une fantaisie insolites. Entre marivaudage et scènes d’action, entre burlesque et mélodrame, Ford touche l’émotion et l’esprit, sans jamais tomber dans la mièvrerie. Dans ce western antiraciste et humaniste, où la mélancolie pénètre le coeur des plus endurcis, le grand réalisateur américain exerce son regard à la fois idéaliste et lucide
SEANCES
mercredi 30 mai à 15h
samedi 2 juin à 16h
dimanche 3 juin à 15h
samedi 2 juin à 16h
dimanche 3 juin à 15h