PROGRAMMATION FÉVRIER 2008
USA, 1991, 2h08, VOSTF, interdit -12 ans
Avec Robert De Niro, Nick Nolte, Jessica Lange, Juliette Lewis, Robert Mitchum, Gregory Peck, Martin Balsam
Avec Robert De Niro, Nick Nolte, Jessica Lange, Juliette Lewis, Robert Mitchum, Gregory Peck, Martin Balsam
Max Cady, criminel psychopathe récemment sorti de prison, veut se venger de son avocat, Sam Bowden, et entreprend de terroriser l’homme de loi et sa famille. Remake du film du même nom de Jack Lee Thompson (1962).
« La réalisation de Martin Scorsese (et la musique impressionnante de Bernstein) épouse son propos avec une vigueur monumentale : gros plans inquisiteurs, travellings menaçants, ellipses paniquantes, couleurs vives, le tout pour aboutir avec maestria à la scène finale apocalyptique, aqueuse et sombre. Il s’agit d’illustrer avec les plus gros effets la parabole hystérique de Max Cady, de lui restituer toute sa dimension terrible et grandiloquente. Les génériques de début et de fin nous montrent d’ailleurs que l’histoire nous est contée à travers le regard de la jeune Danielle Bowden, laquelle parle de réminiscences (celles de nos fautes) et d’oubli nécessaire pour vivre. Quoi de plus naturel à ce que les yeux d’une adolescente aient donné une version exacerbée de ce qu’elle a vécu ? Les yeux heureux et solarisés de Danielle Bowden, ayant franchi le cap de l’angoisse. »
Stéphane Jolivet
« La réalisation de Martin Scorsese (et la musique impressionnante de Bernstein) épouse son propos avec une vigueur monumentale : gros plans inquisiteurs, travellings menaçants, ellipses paniquantes, couleurs vives, le tout pour aboutir avec maestria à la scène finale apocalyptique, aqueuse et sombre. Il s’agit d’illustrer avec les plus gros effets la parabole hystérique de Max Cady, de lui restituer toute sa dimension terrible et grandiloquente. Les génériques de début et de fin nous montrent d’ailleurs que l’histoire nous est contée à travers le regard de la jeune Danielle Bowden, laquelle parle de réminiscences (celles de nos fautes) et d’oubli nécessaire pour vivre. Quoi de plus naturel à ce que les yeux d’une adolescente aient donné une version exacerbée de ce qu’elle a vécu ? Les yeux heureux et solarisés de Danielle Bowden, ayant franchi le cap de l’angoisse. »
Stéphane Jolivet
SEANCES
Mercredi 27 février à 20h30
Samedi 1er mars à 16h30
Dimanche 2 mars à 20h30
Samedi 1er mars à 16h30
Dimanche 2 mars à 20h30