PROGRAMMATION AVRIL 2006
France, 1961, 1h30
Avec Anouk Aimée, Jacques Harden, Alan Scott, Marc Michel
Avec Anouk Aimée, Jacques Harden, Alan Scott, Marc Michel
Lola danse dans un cabaret nantais et séduit des marins. Depuis sept ans, elle attend le retour de son unique amour, le père de son enfant. Elle retrouve un ami d'enfance qui tombe amoureux d'elle. Ailleurs dans la ville, Madame Desnoyers élève sa fille, qui ressemble à l'enfant que fut Lola... Demy réhabilite ici un certain réalisme poétique, une merveilleuse version mélo, aux antipodes du cinéma tranche de vie alors en vogue.
« Lola ? Évidemment Lola-Lola L’Ange bleu Marlène Dietrich et Sternberg. Et aussi Lola Montès, celle de Max Ophüls. Toutes deux en reflets mêlés à la surface grise et miroitante de la calme vie provinciale, à Nantes où les rêves de vie sur l’écran, pour l’adolescent cinéphile Jacques Demy, ont peu devenir la vie rêvée.»
L’Encyclopédie du Cinéma
« Ce qui fait l’importance de Lola, c’est évidemment sa beauté première, l’élégance de sa forme, la nonchalance de chaque trait et la fermeté de l’ensemble, la grâce de son déroulement, bref, le continuel bonheur de la mise en scène. Il est difficile de nommer cette beauté, et si un mot s’impose dès l’abord, ce n’est pas le plus précis : charme. »
François Weyergans, Les Cahiers du Cinéma
« Lola ? Évidemment Lola-Lola L’Ange bleu Marlène Dietrich et Sternberg. Et aussi Lola Montès, celle de Max Ophüls. Toutes deux en reflets mêlés à la surface grise et miroitante de la calme vie provinciale, à Nantes où les rêves de vie sur l’écran, pour l’adolescent cinéphile Jacques Demy, ont peu devenir la vie rêvée.»
L’Encyclopédie du Cinéma
« Ce qui fait l’importance de Lola, c’est évidemment sa beauté première, l’élégance de sa forme, la nonchalance de chaque trait et la fermeté de l’ensemble, la grâce de son déroulement, bref, le continuel bonheur de la mise en scène. Il est difficile de nommer cette beauté, et si un mot s’impose dès l’abord, ce n’est pas le plus précis : charme. »
François Weyergans, Les Cahiers du Cinéma
SEANCE
dimanche 2 avril à 16h30