CINÉMA D'HIER ET AUJOURD'HUI • AVRIL-MAI-JUIN 2019
Argentine, 2018, 13h30, VOSTF
avec Elisa Carricajo, Valeria Correa, Pilar Gamboa, Laura Paredes (Compagnie Piel de Lava)
NUM, sortie nationale
avec Elisa Carricajo, Valeria Correa, Pilar Gamboa, Laura Paredes (Compagnie Piel de Lava)
NUM, sortie nationale
Le projet de La Flor pourrait tenir en une phrase, assure Mariano Llinas : "Est-il possible de faire un seul film qui rassemble toutes les histoires possibles, un objet magique comme une nouvelle de Jorge Luis Borges ?". Interview de Mariano Llinás - Le Monde 6 mars 2019
La Flor cambriole le cinéma en six épisodes. Chaque épisode correspond à un genre cinématographique. Le premier est une série B, comme les Américains avaient l’habitude d’en faire. Le deuxième est un mélodrame musical avec une pointe de mystère. Le troisième est un film d’espionnage. Le quatrième est une mise en abîme du cinéma. Le cinquième revisite un vieux film français. Le sixième parle de femmes captives au XIXè siècle. Mon tout forme La Flor.
Ces six épisodes, ces six genres ont un seul point commun : leurs quatre comédiennes. D’un épisode à l’autre, La Flor change radicalement d’univers, et chaque actrice passe d’un monde à l’autre, d’une fiction à une autre, d’un emploi à un autre, comme dans un bal masqué. Ce sont les actrices qui font avancer le récit, ce sont elles aussi qu’au fur et à mesure, le film révèle. Au bout de l’histoire, à la fin du film, toutes ces images finiront par dresser leurs quatre portraits.
> Il est préférable de voir les épisodes dans l'ordre.
"Le plaisir à voir La Flor ressemble à celui de se plonger et se replonger dans un épais roman : même foi absolue dans le récit, même puissance prodigieuse de la narration, soutenue parfois par une voix off d'une grande force poétique. Inventif comme du Borges, touffu comme du Bolaño, ludique comme du Hergé." Aurélien Ferenczi, Télérama
La Flor cambriole le cinéma en six épisodes. Chaque épisode correspond à un genre cinématographique. Le premier est une série B, comme les Américains avaient l’habitude d’en faire. Le deuxième est un mélodrame musical avec une pointe de mystère. Le troisième est un film d’espionnage. Le quatrième est une mise en abîme du cinéma. Le cinquième revisite un vieux film français. Le sixième parle de femmes captives au XIXè siècle. Mon tout forme La Flor.
Ces six épisodes, ces six genres ont un seul point commun : leurs quatre comédiennes. D’un épisode à l’autre, La Flor change radicalement d’univers, et chaque actrice passe d’un monde à l’autre, d’une fiction à une autre, d’un emploi à un autre, comme dans un bal masqué. Ce sont les actrices qui font avancer le récit, ce sont elles aussi qu’au fur et à mesure, le film révèle. Au bout de l’histoire, à la fin du film, toutes ces images finiront par dresser leurs quatre portraits.
> Il est préférable de voir les épisodes dans l'ordre.
"Le plaisir à voir La Flor ressemble à celui de se plonger et se replonger dans un épais roman : même foi absolue dans le récit, même puissance prodigieuse de la narration, soutenue parfois par une voix off d'une grande force poétique. Inventif comme du Borges, touffu comme du Bolaño, ludique comme du Hergé." Aurélien Ferenczi, Télérama
Séances • Mai 2019
Partie 1 (3h30) - - jeudi 2/05 20:00 - - samedi 11/05 16:00
Partie 2 (3h10) - - mardi 7/05 20:00 - - samedi 11/05 20:30
Partie 3 (3h25) - - dimanche 12/05 15:30 - - jeudi 16/05 20:00
Partie 4 (3h28) - - dimanche 12/05 20:00 - - mardi 21/05 20:00
> Le film sera diffusé au cinéma Le Concorde du 9 au 28 mai, avec un week-end marathon les 18 et 19 mai.
Partie 2 (3h10) - - mardi 7/05 20:00 - - samedi 11/05 20:30
Partie 3 (3h25) - - dimanche 12/05 15:30 - - jeudi 16/05 20:00
Partie 4 (3h28) - - dimanche 12/05 20:00 - - mardi 21/05 20:00
> Le film sera diffusé au cinéma Le Concorde du 9 au 28 mai, avec un week-end marathon les 18 et 19 mai.