NICOLAS PHILIBERT • FÉVRIER 2014
France, 2013, 1h43, documentaire
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Véritable plongée au coeur des programmes du géant de la radio, Radio France. Emissions diverses et variées, journalistes, invités, débats, interviews... Le monde extraordinaire des émissions radiophoniques s'ouvre au spectateur. De l'agitation des dernières minutes avant la prise d'antenne, à l'ambiance feutrée des studios : on explore un univers, celui de la radio, celui où le micro a le plein pouvoir.
"La plupart de mes films tournent autour de la parole, de la voix, du langage", reconnaît Nicolas Philibert. C'était déjà le cas dans "La Voix de son maître", son premier long métrage, réalisé avec Gérard Mordillat en 1978. Il y traitait du discours patronal à une époque où "les dirigeants d'entreprises commençaient à se former à la prise de parole avec des gens de radio". Ça l'est aussi du "Pays des sourds "(1992). Ça l'est encore de"La Moindre des choses", tourné en 1996 à la clinique psychiatrique de La Borde, avec ces patients dont "la maladie, les souffrances et la prise de médicaments pèsent lourdement sur la parole". Ça l'est enfin d'"Etre et avoir" (2002), qui attache une importance toute particulière à l'apprentissage de la langue et de la lecture."
François Ekchajzer, Télérama
"Film sur un média qui ne s'adresse à priori qu'aux oreilles, "La Maison de la radio" est un grand morceau de cinéma."
Serge Kaganski, Les Inrockuptibles
"Un régal. (...) Ceci, pour l'impression: fascinant, drôle, insolite, racé, élégant. (...) Ceci pour la sensation: délié, acoustique, aérien, pneumatique, fluide, ondoyant. "
Jacques Mandelbaum, Le Monde
"Le cinéaste de "Être et avoir" a posé sa caméra six mois durant dans le château fort radeau-France (...) Disons-le sans ambages, le résultat est surprenant, instructif et souvent drolatique ; pas d'un mauvais rire gras, mais d'un rire complice qui vient en se prenant d'empathie pour les artisans jusqu'ici invisibles des antennes hertziennes. "
Cédric Le Penru, Ecran large
"De cette surabondance sonore, Nicolas Philibert dégage une ligne claire, définissant la parole, et par extension la musique comme l'essence de notre humanité."
Vincent Thabourey, Positif
"En allant voir ceux qui parlent dans le poste, Philibert a rencontré des gens qui continuent à être un peu cachés, derrière leurs micros. On sent qu'il a aimé ce mélange de pudeur et d'expressivité qui fait un monde à part. Et un beau film."
Frédéric Strauss, Télérama
"La plupart de mes films tournent autour de la parole, de la voix, du langage", reconnaît Nicolas Philibert. C'était déjà le cas dans "La Voix de son maître", son premier long métrage, réalisé avec Gérard Mordillat en 1978. Il y traitait du discours patronal à une époque où "les dirigeants d'entreprises commençaient à se former à la prise de parole avec des gens de radio". Ça l'est aussi du "Pays des sourds "(1992). Ça l'est encore de"La Moindre des choses", tourné en 1996 à la clinique psychiatrique de La Borde, avec ces patients dont "la maladie, les souffrances et la prise de médicaments pèsent lourdement sur la parole". Ça l'est enfin d'"Etre et avoir" (2002), qui attache une importance toute particulière à l'apprentissage de la langue et de la lecture."
François Ekchajzer, Télérama
"Film sur un média qui ne s'adresse à priori qu'aux oreilles, "La Maison de la radio" est un grand morceau de cinéma."
Serge Kaganski, Les Inrockuptibles
"Un régal. (...) Ceci, pour l'impression: fascinant, drôle, insolite, racé, élégant. (...) Ceci pour la sensation: délié, acoustique, aérien, pneumatique, fluide, ondoyant. "
Jacques Mandelbaum, Le Monde
"Le cinéaste de "Être et avoir" a posé sa caméra six mois durant dans le château fort radeau-France (...) Disons-le sans ambages, le résultat est surprenant, instructif et souvent drolatique ; pas d'un mauvais rire gras, mais d'un rire complice qui vient en se prenant d'empathie pour les artisans jusqu'ici invisibles des antennes hertziennes. "
Cédric Le Penru, Ecran large
"De cette surabondance sonore, Nicolas Philibert dégage une ligne claire, définissant la parole, et par extension la musique comme l'essence de notre humanité."
Vincent Thabourey, Positif
"En allant voir ceux qui parlent dans le poste, Philibert a rencontré des gens qui continuent à être un peu cachés, derrière leurs micros. On sent qu'il a aimé ce mélange de pudeur et d'expressivité qui fait un monde à part. Et un beau film."
Frédéric Strauss, Télérama
Séances
Vendredi 14 février 21h
Mercredi 19 février 18:30
• vendredi 14 février • 21:00 • Séance suivie d'une rencontre avec Nicolas Philibert
Mercredi 19 février 18:30
• vendredi 14 février • 21:00 • Séance suivie d'une rencontre avec Nicolas Philibert