RÉTROSPECTIVE MARLENE DIETRICH • AOÛT-SEPTEMBRE 2013
USA, 1940, 1h27, VOSTF
avec Marlene Dietrich, John Wayne, Albert Dekker
avec Marlene Dietrich, John Wayne, Albert Dekker
Bijou, chanteuse de cabaret dans les mers du Sud, est une fois de plus expulsée de l'île où elle travaille. Embarquée de force sur le premier rafiot en partance, elle est suivie par ses deux fidèles compagnons, Little Ned, un marin déserteur et Sasha, un illusionniste pickpocket. Un film éminemment original, mêlant comédie, film noir, film d'aventures et mélodrame, qui fut à l'origine de la liaison passionnelle entre Dietrich et Wayne. Pépite parmi ses films oubliés, La Maison des sept péchés prend un malin plaisir à sublimer l’inconvenante Marlene Dietrich.
"Garnett triomphe des conventions par son sens de la mise en scène particulièrement fluide et efficace, une approche semi-parodique dans la peinture des personnages secondaires superbement incarnés (Broderick Crawford, Misha Auer, Oscar Homolka), l'usage d'un double sens sexuel et la mise en place de situations proches du burlesque. A cet égard, le clou du film est une gigantesque bagarre dans le cabaret où se produit Bijou. Cette rixe collective se mue en une chorégraphie hypermaîtrisée, riche en gags et inventions comiques. C'est paradoxalement l'apparente frivolité de nombreux moments du film qui permet à une certaine amertume de surgir, intrusion de sombres sentiments au cœur d'un monde de fantaisie exotique."
Jean-François Rauger, Le Monde
"Garnett triomphe des conventions par son sens de la mise en scène particulièrement fluide et efficace, une approche semi-parodique dans la peinture des personnages secondaires superbement incarnés (Broderick Crawford, Misha Auer, Oscar Homolka), l'usage d'un double sens sexuel et la mise en place de situations proches du burlesque. A cet égard, le clou du film est une gigantesque bagarre dans le cabaret où se produit Bijou. Cette rixe collective se mue en une chorégraphie hypermaîtrisée, riche en gags et inventions comiques. C'est paradoxalement l'apparente frivolité de nombreux moments du film qui permet à une certaine amertume de surgir, intrusion de sombres sentiments au cœur d'un monde de fantaisie exotique."
Jean-François Rauger, Le Monde
Séances
Vendredi 23 août 2013 à 19h
Mardi 27 août 2013 à 21h
Dimanche 1er Septembre 2013 à 19h30
Mardi 27 août 2013 à 21h
Dimanche 1er Septembre 2013 à 19h30