RÉTROSPECTIVE JEAN RENOIR • JUIN-JUILLET 2013
France, 1962, 1h49
avec Jean-Pierre Cassel, Claude Brasseur, Jean Carmet, Claude Rich, Jacques Jouanneau
avec Jean-Pierre Cassel, Claude Brasseur, Jean Carmet, Claude Rich, Jacques Jouanneau
En 1940, le caporal a été fait prisonnier par les Allemands. Il ne pense qu'à une chose, désormais, s'évader. Il est accompagné dans ses tentatives par des personnages hauts en couleur, un fermier morose, un intellectuel myope, un prolo parisien, ou un assistant dentiste allemand...
Mais à chaque fois qu'il essaye, le voici repris. Parfois il ne peut faire que quelques pas, d'autres fois il se fait la belle jusqu'à la frontière. Jusqu'à ce qu'un jour...
"Des Français, prisonniers des Allemands, se lient d'amitié. Ce n'est pas La Grande Illusion, qui se passe en 1916, mais Le Caporal épinglé, dont l'action se situe en 1940 et que certains critiques baptisèrent, à sa sortie, "La Petite Illusion". Comme si Renoir ne faisait que se répéter, alors qu'il signe une œuvre profonde sur un sujet qui lui tient à cœur : la liberté. (...)Pour Renoir, même en temps de guerre, la liberté n'est pas qu'affaire de frontières : avec une sérénité audacieuse, le patron du cinéma français, comme on l'appelait, montre même qu'un Français peut trouver son bonheur avant d'être rentré en France. Son regard est moderne, avant-gardiste, européen."
Frédéric Strauss, Télérama
Mais à chaque fois qu'il essaye, le voici repris. Parfois il ne peut faire que quelques pas, d'autres fois il se fait la belle jusqu'à la frontière. Jusqu'à ce qu'un jour...
"Des Français, prisonniers des Allemands, se lient d'amitié. Ce n'est pas La Grande Illusion, qui se passe en 1916, mais Le Caporal épinglé, dont l'action se situe en 1940 et que certains critiques baptisèrent, à sa sortie, "La Petite Illusion". Comme si Renoir ne faisait que se répéter, alors qu'il signe une œuvre profonde sur un sujet qui lui tient à cœur : la liberté. (...)Pour Renoir, même en temps de guerre, la liberté n'est pas qu'affaire de frontières : avec une sérénité audacieuse, le patron du cinéma français, comme on l'appelait, montre même qu'un Français peut trouver son bonheur avant d'être rentré en France. Son regard est moderne, avant-gardiste, européen."
Frédéric Strauss, Télérama
Séances
Vendredi 5 juillet 2013 à 21h
Mercredi 10 juillet 2013 à 21h
Dimanche 14 juillet 2013 à 19h
Mercredi 10 juillet 2013 à 21h
Dimanche 14 juillet 2013 à 19h