CINÉMA AVEC LACAN • AVRIL 2024
GB, 1960, 1h41, VOSTF
avec Karlheinz Böhm, Moira Shearer
NUM, version restaurée
avec Karlheinz Böhm, Moira Shearer
NUM, version restaurée
L’Association de la Cause Freudienne propose une projection suivie d’un débat, afin de s’enseigner des trouvailles des cinéastes à travers le prisme de l’orientation lacanienne. Que nous révèle le film sur la condition humaine, le malaise dans la civilisation, le couple, le désir, l’amour, la féminité, etc. ? Autant de thèmes abordés – où se croisent cinéma et psychanalyse – qui permettront au spectateur de révéler et susciter des questions et des réflexions qui le traversent. Séances animées par une enseignante de cinéma et une psychanalyste (membre de l’École de la Cause Freudienne).
"Ce film, c’est seulement du cinéma n’est-ce pas ?" demande Helen, angoissée, à Mark, l’énigmatique voisin. Elle s’est aventurée, rongée par la curiosité, à découvrir ce que cet homme qui ne quitte jamais sa caméra pouvait bien filmer. Celui-ci, avec son apparence normale s’acharne, comme son père, à saisir le moment d’angoisse qu’il peut provoquer dans le regard d’une femme. Depuis l’ouverture magistrale du film sur l’œil bleu de Mark Lewis jusqu’à l’image absolue de sa propre mort qu’il traque compulsivement, s’impose un incessant aller et retour entre filmer et regarder, Pour Michael Powell, ce film est un point d’orgue. Il nous montre tout son talent pour entretenir une tension inégalable, jouant avec virtuosité de tous les expédients de son art pour nous plonger dans son univers aux multiples miroirs." - Denis Brunelière
"Ce film, c’est seulement du cinéma n’est-ce pas ?" demande Helen, angoissée, à Mark, l’énigmatique voisin. Elle s’est aventurée, rongée par la curiosité, à découvrir ce que cet homme qui ne quitte jamais sa caméra pouvait bien filmer. Celui-ci, avec son apparence normale s’acharne, comme son père, à saisir le moment d’angoisse qu’il peut provoquer dans le regard d’une femme. Depuis l’ouverture magistrale du film sur l’œil bleu de Mark Lewis jusqu’à l’image absolue de sa propre mort qu’il traque compulsivement, s’impose un incessant aller et retour entre filmer et regarder, Pour Michael Powell, ce film est un point d’orgue. Il nous montre tout son talent pour entretenir une tension inégalable, jouant avec virtuosité de tous les expédients de son art pour nous plonger dans son univers aux multiples miroirs." - Denis Brunelière
Séance "Cinéma avec Lacan"
Mercredi 10/04/24 20:30, suivi d'une discussion animée par une enseignante de cinéma et une psychanalyste (membre de l’École de la Cause Freudienne)
